Sye Dayma [validé]
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Sye Dayma [validé]
par Sye Dayma Jeu 3 Jan - 19:34
Nom : Dayma, j’ai toujours trouvé que le nom de ma mère collait infiniment mieux avec mon prénom, et après tout mon père a fait pareil avec son propre nom alors.
Prénom : Sye.
Surnom : Doc’
Age : 26 ans.
Sexe : Masculin, et oui je sais, cela étonne toujours.
Statut : Célibataire voguant au gré du vent.
Tendance : Bisexuelle.
Métier : Médecin.
Famille : Fils de Lionis Génésis*, médecin toute spécialité confondu et cinquante-deux ans, et de Dÿn Dayma, Mère au foyer et quarante-huit ans. J’ai grandis dans une famille aimante et que rien ne détruira jamais, et pour cause mon père est ENCORE pire que moi au niveau caractère mais il est aussi une personne que rien ne pourra jamais séparer de sa femme, même la mort, enfin cela c’est Maman qui le dit car je n’ai jamais eu le courage de lancer les paris avec lui pour vérifier…
Un père aimant, une mère douce et gentille, bien qu’avec son caractère propre, et deux cadets faux-jumeaux, une fille et un garçon de quatorze ans nommé Ern et Jil, je vous laisse deviner quel est le nom de chacun d’entre eux.
Bref, il n’y a guère plus de choses à dire sur ma famille avec qui je suis en très bon terme et qui m’approvisionne en argent plus que je n’en ai et en aurais jamais besoin vu le salaire que je me paye à chaque fin de mois en tant que médecin...
*(Vraiment, vous croyez quoi, fallait que je le replace ce nom… Joke pour les joueurs de Diamond assez fou pour le fréquenter héhéhé…)
Passé : Je suis venus, j’ai vu, j’ai vécus !
Et je ne compte pas m’arrêter de vivre de si tôt si vous voulez le savoir, en fait je ne suis même pas pressé DU TOUT d’arrêter de vivre.
Je suis né il y a de cela maintenant vingt-six ans de l’union récompensé par ce ‘cadeau’, on a cassé le moule quand je suis né, de mon père dit Lionis Génésis et de ma mère, qui m’a supporter huit mois et deux semaines de plus que mon père en réalité, dites Dÿn Dayma.
Si l’on prend en compte que je suis né au moment de ma conception j’aurais en fait vint-six ans huit mois et deux semaines, mais passons sur ce genre de petit détail n’est-ce pas car ils ne nous intéressent point et à la place venons en à la réalité même de ma vie et de mon existence.
Aussi loin que mes souvenirs me portent j’ai l’impression de toujours avoir existé, ou du moins d’avoir vécu avant même de naître, ce qui est je vous l’assure une impression des plus bizarre, et il n’est pas rare qu’en visitant des quartiers éloignés de la ville ou je ne vais jamais j’eusse des impressions de déjà-vu fugace mais bien réelle, mais je n’y ai jamais réellement fait attention en réalité.
Bref, nous y reviendrons plus tard mais avant cela parlons donc de ma vie de tous les jours et surtout au moment de ma basse-jeunesse qui commence à avoir une petite paire d’année maintenant.
Mes toutes premières années ne me sont connus que par les histoires de familles qui bien que nombreuses recèlent sans doute certain récit exagéré ou, et, inexistant autre part que dans la mémoire de ceux qui les racontent.
J’ai appris de par ces petits racontars que j’étais un enfant charmant, doux, attentif à ce qu’on lui disait, ayant une sainte horreur des ciseaux et du coiffeur en général, il m’est aussi venus aux oreilles qu’en ce temps la se passait souvent de drôle de choses sans explications aucune à la maison, je n’ai jamais cherché à en savoir réellement plus car cela ne m’intéressait guère en réalité.
Mes premiers réels souvenirs m’appartenant, bien que le temps ai pu les déformer voir me les faire assimiler à d’autres, sont ceux de mes six ans. À cet âge la j’ai eu mes premières absences sévères, j’avais alors l’impression de « m’endormir comme une masse » et je me réveillais parfois des dizaines de mètres plus loin et quelques minutes, et cela toujours vers la même direction, pendant longtemps je me suis considéré comme somnambule et l’explication réelle de ces absences ne me vint que bien des années plus tard, bien des années.
C’est aussi à l’âge de six ans que mon père, aidé en cela par ma mère quand il travaillait commença à me faire les cours à domicile en me disant toujours qu’il préférait faire cela plutôt que de s’ennuyer dans son temps libre au cabinet ou à l’hôpital, je me souviens pourtant très bien que son salaire nous permettait de vivre bien plus que confortablement.
Oui, c’est un fait j’ai grandis dans une famille non-malmené par le sort et même plutôt riche, et j’ai préféré depuis longtemps arrêter de comprendre comment mon père faisait d’une part pour travailler en tant que médecin multi-spécialisé et me donner des cours à côté d’autre part…
Le fait est que ce fut lui qui m’apprit les trois-quarts des choses que je connais aujourd’hui et il faisait cela très bien. En effet loin de l’éducation traditionnelle qui veut que l’on assomme les enfants dés le plus jeune âge de choses qui tout au long de leur vie ne leurs serviront plus jamais il me faisait travailler sur ce qu’il connaissait en tant qu’ancien élève de son propre système et seulement sur ce dont j’aurais besoin à un moment ou un autre de ma vie.
Je bénéficiais par bonheur, autant pour lui que pour moi, de capacités d’apprentissage et de mémorisation assez hors du commun, ces mêmes capacités me permirent de prétendre au baccalauréat à l’âge ou les majorités des étudiants du système en est à passer son brevet des collèges, quinze ans.
Bref, revenons-en à mon histoire plutôt que de faire des bonds désorganisé dans le temps.
L’année de mes six ans fut donc d’une tranquillité à toute épreuve, grandir dans une famille comme celle-ci n’a rien de difficile si vous êtes quelqu’un d’organisé, méthodique et de calme.
Les années qui la suivirent lui furent toutes égales au moins jusque à mes seize ans, tranquille et « ennuyante », monotone serait plus juste en réalité. Il est tout de même à noter que ma famille vint s’agrandir de deux membres l’année de mes douze ans, mon frère et ma sœur, faux-jumeaux par excellence.
Et pendant ce temps la mes crises d’absences allaient croissantes en durée et en fréquence, des simples dix mètres et deux minutes de mes crises du début j’en venais à parfois deux voir trois kilomètres et plus de trente à quarante minutes, toujours cette satanée direction vers le parc par des chemins tordus et réellement bizarre…
J’en venais tout de même à m’inquiéter un peu.
A l’âge de seize ans, et après avoir pris une année de repos tout en continuant de mener des études à part et pour ma simple culture, je m’inscrivais en école de médecine, j’eu vite fait de me faire remarquer par cette capacité naturelle d’apprentissage rapide et de mémorisation presque sans faille, et plus cela avançait dans mes études plus les choses me paraissaient simple en médecine…
Une petite anecdote tout de même qui à une importance… Assez élevé…
C’était encore l’année de mes seize ans, il se trouve que je venais d’avoir une crise d’absence qui avait dépassé tout les stades déjà franchies, DEUX HEURES ET SIX KILOMETRES, quand je me suis finalement réveillé j’étais dans le parc de la ville, je l’avais déjà visité ce parc bien entendu, mais l’endroit ou j’étais m‘étais inconnus…
Cela ressemblait à une petite colline, du moins, du haut de cet endroit je voyais parfaitement le lac, mais si d’un côté la descente était douce de l’autre, le côté du lac, c’était une toute autre affaire et descendre sans matériel aurait été risqué.
En haut de cette butte, il y avait deux tombes… Deux croix côte à côte portant chacune le nom Lenires et suivis de Serÿn à gauche et Eïln à droite, indiquant une date de mort datant d’il y avait un peu plus de seize ans, quelques semaines, ou seulement jours je ne sais plus, avant ma propre naissance, il n’y avait pas de date de naissance sur ces croix d’un blanc immaculé seulement rompus par l’or des gravures…
Elles étaient espacées de un mètre chacune et autour de ces deux croix, sur la partie haute, était lié un morceau de tissu qui les reliait entre elles.
J’avais comme éducation de ne jamais violer une sépulture d’une quelconque façon que ce soit, mais cette fois ci, ma main droite échappa à tout contrôle et saisit le tissu par le milieu même, entre les deux tombes.
Je ne me rappelle plus précisément ce qui a suivit cette action, mais je me rappelle parfaitement une voix dans ma tête, ou autour de moi, je n’arrive plus à le savoir.
« Nous sommes réunis ma Sœur… Enfin réunis… »
Quand je suis revenus à moi, car il semblait que je m’étais évanouis, je ne trouvais plus le morceau de tissu ni parterre, ni autour de moi, il n’était nulle part.
Quelques minutes plus tard, une fois remis de mon hébètement suite à cela ce que l’on peut comprendre facilement, je regardais mon bras droit qui était celui qui avait saisis l’objet… Et je vis le même morceau de tissu, plutôt un voile en réalité, aussi fin qu’une toile d’araignée, d’une couleur plus blanche que n’importe quoi, de la douceur d’une plume, ce tissu, cette toile, était entouré autour de mon bras et ne semblait pas décider à me lâcher le moins du monde… Je me suis débattus pendant une dizaine de minutes avec, essayant même de la couper avec la lame d’un canif que je portais sur moi, mais rien n’y fit elle était plus inaltérable que le plus dur des métaux que j’ai vu de ma vie, tandis que j’essayais de me relever il y eu un nouveau blanc dans ma tête qui me refit chuter, une scène qui me sembla familière, puis des paroles, en substance cela donnait ça.
Prénom : Sye.
Surnom : Doc’
Age : 26 ans.
Sexe : Masculin, et oui je sais, cela étonne toujours.
Statut : Célibataire voguant au gré du vent.
Tendance : Bisexuelle.
Métier : Médecin.
Famille : Fils de Lionis Génésis*, médecin toute spécialité confondu et cinquante-deux ans, et de Dÿn Dayma, Mère au foyer et quarante-huit ans. J’ai grandis dans une famille aimante et que rien ne détruira jamais, et pour cause mon père est ENCORE pire que moi au niveau caractère mais il est aussi une personne que rien ne pourra jamais séparer de sa femme, même la mort, enfin cela c’est Maman qui le dit car je n’ai jamais eu le courage de lancer les paris avec lui pour vérifier…
Un père aimant, une mère douce et gentille, bien qu’avec son caractère propre, et deux cadets faux-jumeaux, une fille et un garçon de quatorze ans nommé Ern et Jil, je vous laisse deviner quel est le nom de chacun d’entre eux.
Bref, il n’y a guère plus de choses à dire sur ma famille avec qui je suis en très bon terme et qui m’approvisionne en argent plus que je n’en ai et en aurais jamais besoin vu le salaire que je me paye à chaque fin de mois en tant que médecin...
*(Vraiment, vous croyez quoi, fallait que je le replace ce nom… Joke pour les joueurs de Diamond assez fou pour le fréquenter héhéhé…)
Passé : Je suis venus, j’ai vu, j’ai vécus !
Et je ne compte pas m’arrêter de vivre de si tôt si vous voulez le savoir, en fait je ne suis même pas pressé DU TOUT d’arrêter de vivre.
Je suis né il y a de cela maintenant vingt-six ans de l’union récompensé par ce ‘cadeau’, on a cassé le moule quand je suis né, de mon père dit Lionis Génésis et de ma mère, qui m’a supporter huit mois et deux semaines de plus que mon père en réalité, dites Dÿn Dayma.
Si l’on prend en compte que je suis né au moment de ma conception j’aurais en fait vint-six ans huit mois et deux semaines, mais passons sur ce genre de petit détail n’est-ce pas car ils ne nous intéressent point et à la place venons en à la réalité même de ma vie et de mon existence.
Aussi loin que mes souvenirs me portent j’ai l’impression de toujours avoir existé, ou du moins d’avoir vécu avant même de naître, ce qui est je vous l’assure une impression des plus bizarre, et il n’est pas rare qu’en visitant des quartiers éloignés de la ville ou je ne vais jamais j’eusse des impressions de déjà-vu fugace mais bien réelle, mais je n’y ai jamais réellement fait attention en réalité.
Bref, nous y reviendrons plus tard mais avant cela parlons donc de ma vie de tous les jours et surtout au moment de ma basse-jeunesse qui commence à avoir une petite paire d’année maintenant.
Mes toutes premières années ne me sont connus que par les histoires de familles qui bien que nombreuses recèlent sans doute certain récit exagéré ou, et, inexistant autre part que dans la mémoire de ceux qui les racontent.
J’ai appris de par ces petits racontars que j’étais un enfant charmant, doux, attentif à ce qu’on lui disait, ayant une sainte horreur des ciseaux et du coiffeur en général, il m’est aussi venus aux oreilles qu’en ce temps la se passait souvent de drôle de choses sans explications aucune à la maison, je n’ai jamais cherché à en savoir réellement plus car cela ne m’intéressait guère en réalité.
Mes premiers réels souvenirs m’appartenant, bien que le temps ai pu les déformer voir me les faire assimiler à d’autres, sont ceux de mes six ans. À cet âge la j’ai eu mes premières absences sévères, j’avais alors l’impression de « m’endormir comme une masse » et je me réveillais parfois des dizaines de mètres plus loin et quelques minutes, et cela toujours vers la même direction, pendant longtemps je me suis considéré comme somnambule et l’explication réelle de ces absences ne me vint que bien des années plus tard, bien des années.
C’est aussi à l’âge de six ans que mon père, aidé en cela par ma mère quand il travaillait commença à me faire les cours à domicile en me disant toujours qu’il préférait faire cela plutôt que de s’ennuyer dans son temps libre au cabinet ou à l’hôpital, je me souviens pourtant très bien que son salaire nous permettait de vivre bien plus que confortablement.
Oui, c’est un fait j’ai grandis dans une famille non-malmené par le sort et même plutôt riche, et j’ai préféré depuis longtemps arrêter de comprendre comment mon père faisait d’une part pour travailler en tant que médecin multi-spécialisé et me donner des cours à côté d’autre part…
Le fait est que ce fut lui qui m’apprit les trois-quarts des choses que je connais aujourd’hui et il faisait cela très bien. En effet loin de l’éducation traditionnelle qui veut que l’on assomme les enfants dés le plus jeune âge de choses qui tout au long de leur vie ne leurs serviront plus jamais il me faisait travailler sur ce qu’il connaissait en tant qu’ancien élève de son propre système et seulement sur ce dont j’aurais besoin à un moment ou un autre de ma vie.
Je bénéficiais par bonheur, autant pour lui que pour moi, de capacités d’apprentissage et de mémorisation assez hors du commun, ces mêmes capacités me permirent de prétendre au baccalauréat à l’âge ou les majorités des étudiants du système en est à passer son brevet des collèges, quinze ans.
Bref, revenons-en à mon histoire plutôt que de faire des bonds désorganisé dans le temps.
L’année de mes six ans fut donc d’une tranquillité à toute épreuve, grandir dans une famille comme celle-ci n’a rien de difficile si vous êtes quelqu’un d’organisé, méthodique et de calme.
Les années qui la suivirent lui furent toutes égales au moins jusque à mes seize ans, tranquille et « ennuyante », monotone serait plus juste en réalité. Il est tout de même à noter que ma famille vint s’agrandir de deux membres l’année de mes douze ans, mon frère et ma sœur, faux-jumeaux par excellence.
Et pendant ce temps la mes crises d’absences allaient croissantes en durée et en fréquence, des simples dix mètres et deux minutes de mes crises du début j’en venais à parfois deux voir trois kilomètres et plus de trente à quarante minutes, toujours cette satanée direction vers le parc par des chemins tordus et réellement bizarre…
J’en venais tout de même à m’inquiéter un peu.
A l’âge de seize ans, et après avoir pris une année de repos tout en continuant de mener des études à part et pour ma simple culture, je m’inscrivais en école de médecine, j’eu vite fait de me faire remarquer par cette capacité naturelle d’apprentissage rapide et de mémorisation presque sans faille, et plus cela avançait dans mes études plus les choses me paraissaient simple en médecine…
Une petite anecdote tout de même qui à une importance… Assez élevé…
C’était encore l’année de mes seize ans, il se trouve que je venais d’avoir une crise d’absence qui avait dépassé tout les stades déjà franchies, DEUX HEURES ET SIX KILOMETRES, quand je me suis finalement réveillé j’étais dans le parc de la ville, je l’avais déjà visité ce parc bien entendu, mais l’endroit ou j’étais m‘étais inconnus…
Cela ressemblait à une petite colline, du moins, du haut de cet endroit je voyais parfaitement le lac, mais si d’un côté la descente était douce de l’autre, le côté du lac, c’était une toute autre affaire et descendre sans matériel aurait été risqué.
En haut de cette butte, il y avait deux tombes… Deux croix côte à côte portant chacune le nom Lenires et suivis de Serÿn à gauche et Eïln à droite, indiquant une date de mort datant d’il y avait un peu plus de seize ans, quelques semaines, ou seulement jours je ne sais plus, avant ma propre naissance, il n’y avait pas de date de naissance sur ces croix d’un blanc immaculé seulement rompus par l’or des gravures…
Elles étaient espacées de un mètre chacune et autour de ces deux croix, sur la partie haute, était lié un morceau de tissu qui les reliait entre elles.
J’avais comme éducation de ne jamais violer une sépulture d’une quelconque façon que ce soit, mais cette fois ci, ma main droite échappa à tout contrôle et saisit le tissu par le milieu même, entre les deux tombes.
Je ne me rappelle plus précisément ce qui a suivit cette action, mais je me rappelle parfaitement une voix dans ma tête, ou autour de moi, je n’arrive plus à le savoir.
« Nous sommes réunis ma Sœur… Enfin réunis… »
Quand je suis revenus à moi, car il semblait que je m’étais évanouis, je ne trouvais plus le morceau de tissu ni parterre, ni autour de moi, il n’était nulle part.
Quelques minutes plus tard, une fois remis de mon hébètement suite à cela ce que l’on peut comprendre facilement, je regardais mon bras droit qui était celui qui avait saisis l’objet… Et je vis le même morceau de tissu, plutôt un voile en réalité, aussi fin qu’une toile d’araignée, d’une couleur plus blanche que n’importe quoi, de la douceur d’une plume, ce tissu, cette toile, était entouré autour de mon bras et ne semblait pas décider à me lâcher le moins du monde… Je me suis débattus pendant une dizaine de minutes avec, essayant même de la couper avec la lame d’un canif que je portais sur moi, mais rien n’y fit elle était plus inaltérable que le plus dur des métaux que j’ai vu de ma vie, tandis que j’essayais de me relever il y eu un nouveau blanc dans ma tête qui me refit chuter, une scène qui me sembla familière, puis des paroles, en substance cela donnait ça.
Sye Dayma- Voyant "angélique"
Pureté réincarnée - Messages : 41
Date d'inscription : 03/01/2008
Age : 43
Localisation : Entre ma maison et... Ailleurs.
Re: Sye Dayma [validé]
par Sye Dayma Jeu 3 Jan - 19:35
~ Une salle, noire, et des présences partout, on sent ces présences plus que tout, noirs, vicieuses, hargneuses, cruelles…
Puis la lumière s’allume, il n’y a personne dans cette salle, PERSONNE, je me regarde moi-même et ne me voit pas, transparent, comme une émanation sans forme.
Je regarde de tout côté puis de l’endroit ou vient la lumière, je vois une porte s’ouvrir en grand et une femme entrer, je la regarde avec insistance, la détaillant de haut en bas.
Je la regarde droit dans les yeux, subjugué par le sentiment, par l'éclat, de beauté qui s'échappe d'elle.
J'ai l'impression que ses yeux d'un rouge aussi pur que les flammes bercent mon âme dans une douce chaleur.
Ses longs cheveux, argentés malgré son jeune âge, renvoient la lumière comme une onde dorée.
Ni petite, ni réellement grande, elle a une taille qui lui convient à merveille. Il aurait été sacrilège de s'imaginer qu'il eu peut en être autrement.
Quand à ses différentes formes, toute en finesse et en douceur, leur présence semble n'avoir pour rôle que celui de rehausser sa beauté.
Sa tenue a marquée mon souvenir, bien que d'une simplicité enfantine, elle m'avait parut avoir été faite pour elle.
Ce simple jean bleu agrémenté d'une pochette au genou, cette chemise dont le dernier bouton n'était pas fermé, tout s'est gravé dans ma mémoire à l'instant ou je l'ai vu entrer dans la pièce, comme nimbée par la lumière d'un soleil qui se serait levé derrière ses pas.
Je me rapproche inévitablement d’elle et sans aucun contrôle sur mes mouvements, et il arrive alors ce qui devait arriver, je me fais traverser.
Je vois alors que pend un sabre à sa ceinture à gauche et je ‘ressens’ comme une aura…C’est assez difficile à expliquer, c’est comme si je m’étais sentis traversé par une décharge électrique mais envoyé de tel façons qu’elle me détende, me calme, m’apaise au lieu de me faire du mal…
J’avais ressentie son aura…
Je me retourne et la regarde avancer et plus je la regarde plus je vois son aura autour d’elle se matérialiser.
Au final je contemple l’apparition de quatre ailes d’une taille impressionnante et blanche comme la plus pure des neiges ainsi qu’une auréole lumineuse, à moins que ce ne soit son aura dans son ensemble qui se soit rassemblée au dessus de sa tête, je vois quelques plumes osciller doucement entre air et terre avant de tomber doucement au sol tandis que les ailes se déploient totalement.
Je vis aussi un voile blanc voleter autour d’elle dans une valse assez époustouflante, agissant comme un être doué d’intelligence… A moins qu’il le fut.
La scène avait quelques choses d’incroyable, de fantastique ou même de féérique, il n’y a aucun son que sa respiration et le bruit de ses pas et elle finit par atteindre le milieu de la salle…
La suite fut bien moins belle que ce début pourtant enchanteur et je vis arriver assez vite un homme aux cheveux rouge et aux excroissances osseuses sur le visage qui ressemblait à des cornes, émanant la violence et l’envie de sang dans son entier il se rapprocha d’elle par l’avant.
Une aura… Rouge… Nan… Noir… De meurtre, d’envie… De… Il faisait peur.
Il avait les deux mains sous une cape noire et j’entendis finalement la cape tomber au sol, je vis alors que ses deux mains étaient serrées autour d’une arme, la droite sur la poignée et la gauche sur le fourreau, il était prêt à dégainer.
Je fermais les yeux ne voulant plus voir ce spectacle, j’entendis alors le bruit familier, mais comment pouvait-il me l’être alors que je n’avais jamais approché une arme blanche de ma vie, du frottement du fourreau contre la lame puis je l’entendis une deuxième fois mais plus proche.
Ils avaient tout les deux dégainés et dans les minutes qui suivirent, les frottements, les chocs, contre-chocs et tant d’autre bruit que je reconnaissais d’instinct, pouvant même deviner qui avait porté le coup sans voir la scène, se succédèrent à un rythme effréné et sans même une parole échangée.
Le bruit se faisait insupportable dans mon pauvre crane et je rouvris les yeux pour regarder la scène un instant, la femme était en mauvaise posture ayant à ce que j’en voyais ses habits déchirés par endroit et saignant de multiple blessures et contusions plus ou moins profondes et marquées m ais son voile se dressait parfois sur le chemin d’un coup plus dangereux et l’encaissait sans problème particulier si ce n’est un léger recul.
L’homme quand à lui ne semblait avoir aucune marque et souriait encore et toujours…
Je vis la dite femme porter un dernier coup en y mettant toute sa force, sa hargne et sa sagesse…
Celui-ci effleura seulement la joue de l’homme qui s’en retira avec une marque de coupure et un léger saignement le long de la joue et qui dégoulina jusque au cou, elle tomba au sol épuisée.
J’entendis peu de mots mais la voix froide et implacable avec laquelle ils furent prononcés me restera à jamais en mémoire.
« Adieu Serÿn ce sera notre dernier combat, tu t’es bien défendu sache le, mais pas encore assez… »
Une réponse douce, du moins la voix l’était, me parvint avant la fin.
« Ca se payera Eras… Un jour… »
Et la je vis une scène qui me fit l’effet d’un coup de poing, de plusieurs coups de poing, dans l’estomac ou les poumons.
L’homme nommé Eras releva Serÿn, et je me rappelais alors que son nom était sur la tombe, en la tirant par le bas du cou ou le cuir chevelu peut-être et après l’avoir relevé, lui porta un rapide coup de poing dans le bas-ventre puis au niveau de l’estomac, des côtes, du cœur et des poumons.
Les coups s’enchainaient de plus en plus vite en visant des points précis, vitaux, non vitaux, tous y passaient et je la voyais cracher du sang : c’est alors qu’il reprit son sabre et donna un dernier coup.
L'arme transperça la cage thoracique au niveau du cœur puis traversa le dos et enfin amocha l’aile gauche en l’entaillant, un dernier vomissement de sang et le retrait rapide du sabre en le faisant tourner dans la plaie, un bruit horrible de déchiquetage et ce fut finit.
Elle chutait face au sol, morte et c’est alors que je remarquais que le voile blanc n’avait pu empêcher le dernier coup qui fut bien trop puissant pour sa propre résistance, il retomba par terre…
Une mare de sang commença à se former sous le corps de Serÿn tandis que ses ailes et ses plumes se gorgeaient de son sang en devenant d’un rouge noirâtre, cinq à dix minutes passèrent avant que je ne réalise réellement ce qu’il venait de se passer, ce spectacle m’avait totalement choqué et même traumatisé.
Mais, malheureusement, c’était encore loin d’être finis et quelques minutes plus tard, cinq une fois de plus, et tandis que Eras nettoyait son sabre du sang accumulé dessus, j’entendis la porte claquer ou plutôt se fracasser au sol et en me retournant je vis apparaître un jeune homme aux cheveux d’un blanc éclatant et aux ailes encore plus grandes que celle de Serÿn, cela sans compter sur une aura de combat, de rage, qui me fit peur tellement elle était palpable.
Il entra totalement dans la salle et je pus distinguer un t-shirt avec une croix de type catholique me semblait-il et un jean, je remarquais encore qu’il portait un bandeau et des gants qui avaient l’air doublé en métal, je ne vis plus qu’une chose avant que la pluie de coup ne commence, ce fut l’écharpe qu’il portait au cou et qui agissait comme le faisait il y a peu encore le voile de Serÿn.
Cet homme avait l’air d’une rage hors du commun, essoufflé et pourtant avec un rythme de frappe, une vitesse de mouvement, tellement énorme que la plupart de ces coups échappaient à ma vision et pourtant je voyais Eras contrer les coups les un après les autres sans répliquer, du moins ne pas reculer sous les chocs, il alla même jusque à parler en riant presque en contrant.
« Alors Eïln, on veut venger sa chère Sœurette ? »
La réponse ne se fit guère attendre et je vis le coup le plus violent qu’il avait donné jusque à présent partir du niveau de ses genoux et remonter jusque à la mâchoire de Eras qui ne put l’éviter et recula violemment de plusieurs mètres, sonné.
La rage donnait à Eïln, et ce fut la que je me rappelais qu’il était le nom sur la deuxième tombe, des capacités hors du commun et il profita du choc engendré par la puissance du coup sur les nerfs et terminaisons nerveuse pour se diriger en courant vers sa Sœur.
Il la retourna alors doucement, contemplant le spectacle des blessures, des bleus, des cicatrices, et cette horrible déchirure au niveau du cœur, je savais tout ce qu’il pensait, tout ce qu’il voyait, comme si j’étais à sa place.
Je savais qu’il venait directement du niveau Un, même si je ne comprenais qu’à moitié ce qu’était ce niveau Un, et qu’il avait du pour cela rompre plusieurs règles dont les demandes d’autorisations et autres.
Il avait couru à toute haleine depuis le Passeur, qui était encore un mot que je ne comprenais pas, traversant pour cela toute la ville et il avait fait cela en moins de vingt-cinq minutes, commençant au moment précis ou il avait reçus ce choc mental lui signifiant un malheur arrivant à sa jumelle, ce choc qui était la preuve de leur liaison plus forte que la mort…
Et maintenant il se relevait les larmes aux yeux, il s’essuya les joues d’un geste rapide et je vis son regard aussi rouge que celui de sa défunte sœur briller d’un éclat semblable à la haine la plus pur et la plus violente existante sur cette terre, une haine qui aurait une raison d’exister et ne s’apaiserait jamais…
Il parla alors d’une voix que la violence et la haine rendait dur et froide, une voix qui pourtant ne me fit pas peur mais me rassura au plus profond de mon cœur, la voix que j’avais déjà entendu parler lors de mon premier flash était à peu de choses prêt la même mais je n’y avais alors pas entendu ces accents inspirés par la tristesse de la mort.
« Eras… Tu vas maintenant payer ton action… MEURS DEMON ! »
Et il repartit aussitôt à l’attaque avec encore plus de rage et de force, je remarquais alors qu’Eras avait maintenant du mal à contrer tout les coups et que de plus en plus portaient droit au but.
Peu à peu il gagna du terrain et c’est alors qu’il allait finalement achever le Démon que celui-ci eu une dernière réaction, je vis le fourreau de son sabre tomber au sol, le sabre se redressa alors grâce a un coup de la paume sur la garde, l’angle fit que, sans même l’avoir dégager de sa ceinture, Eïln s’empala dessus à cause de son élan et la pointe porta droit au cœur une fois de plus, et encore une fois le voile, ou l’écharpe, n’avait pu agir…
Il sourit douloureusement et frappa tout de même, le coup porta en pleine tête et Eras alla s’écrouler plus d’une quinzaine de mètre plus loin contre le mur, il se releva et essuya le sang qui perlait de sa bouche avant de finalement cracher un coup, et une dent, et je le vis adresser un regard dédaigneux à Eïln avant de tout bonnement disparaître avec sa cape et son fourreau que je ne l’avais pas vu récupéré.
Les derniers gestes d’Eïln me sont restés en mémoire, du moins jusque à ce que je la perde mais nous y reviendrons.
En effet, il s’obstina à se rapprocher de sa sœur malgré des pertes de sang qui l’affaiblissait de plus en plus, quand il l’eut atteint il noua un bout de son écharpe à l’ancien morceau de voile de sa sœur et je vis les deux fusionner pour ne former plus qu’un ensemble.
C’était ce même ensemble que mon bras avait noué autour de lui…
Il tomba violemment à terre sur ses ailes qui émirent un bruit qui me fit froid dans le dos, mais il souriait douloureusement et s’obstinait à mener sa main droite vers la main gauche de sa sœur, des convulsions violentes le prirent et je me rapprochais d’eux au plus vite, j’avais les larmes aux yeux du moins le pensais-je vu que je ne me voyais pas, et je regardais cette scène.
Je vis le regard d’Eïln devenir gris et fixe tandis que des larmes quittaient ses yeux et que sa main parvenait enfin à serrer celle de sa sœur de toute ses forces, il défaillit à peine deux secondes plus tard dans une dernière convulsion, sa main n’avait pas quitté celle de sa sœur et ses dernières larmes se répandirent sur le sol dans la mare de sang qui les entouraient tout deux, leur sang…
Il souriait, apaisé à jamais…
Au moment ou son dernier soupir passa la barrière de ses lèvres, tout cessa brusquement et je me retrouvais sur la colline, mais elle avait changé.
En effet il n’y avait plus, ou pas encore, les tombes, par contre les corps de ces deux Séraphins, car je savais maintenant qui ils étaient, étaient côte à côte et toujours main dans la main.
La mort les avait réunis à jamais et un sourire ornait maintenant leurs lèvres à tout deux tandis que leurs blessures semblaient disparaître, je vis le voile tomber sur eux deux et il y eu un léger flash, quand je rouvris les yeux il y avait deux tombes relié en leur partie haute par le voile, elles allaient rester ainsi pendant seize longues années…
C’est alors que je revins à moi. ~
Puis la lumière s’allume, il n’y a personne dans cette salle, PERSONNE, je me regarde moi-même et ne me voit pas, transparent, comme une émanation sans forme.
Je regarde de tout côté puis de l’endroit ou vient la lumière, je vois une porte s’ouvrir en grand et une femme entrer, je la regarde avec insistance, la détaillant de haut en bas.
Je la regarde droit dans les yeux, subjugué par le sentiment, par l'éclat, de beauté qui s'échappe d'elle.
J'ai l'impression que ses yeux d'un rouge aussi pur que les flammes bercent mon âme dans une douce chaleur.
Ses longs cheveux, argentés malgré son jeune âge, renvoient la lumière comme une onde dorée.
Ni petite, ni réellement grande, elle a une taille qui lui convient à merveille. Il aurait été sacrilège de s'imaginer qu'il eu peut en être autrement.
Quand à ses différentes formes, toute en finesse et en douceur, leur présence semble n'avoir pour rôle que celui de rehausser sa beauté.
Sa tenue a marquée mon souvenir, bien que d'une simplicité enfantine, elle m'avait parut avoir été faite pour elle.
Ce simple jean bleu agrémenté d'une pochette au genou, cette chemise dont le dernier bouton n'était pas fermé, tout s'est gravé dans ma mémoire à l'instant ou je l'ai vu entrer dans la pièce, comme nimbée par la lumière d'un soleil qui se serait levé derrière ses pas.
Je me rapproche inévitablement d’elle et sans aucun contrôle sur mes mouvements, et il arrive alors ce qui devait arriver, je me fais traverser.
Je vois alors que pend un sabre à sa ceinture à gauche et je ‘ressens’ comme une aura…C’est assez difficile à expliquer, c’est comme si je m’étais sentis traversé par une décharge électrique mais envoyé de tel façons qu’elle me détende, me calme, m’apaise au lieu de me faire du mal…
J’avais ressentie son aura…
Je me retourne et la regarde avancer et plus je la regarde plus je vois son aura autour d’elle se matérialiser.
Au final je contemple l’apparition de quatre ailes d’une taille impressionnante et blanche comme la plus pure des neiges ainsi qu’une auréole lumineuse, à moins que ce ne soit son aura dans son ensemble qui se soit rassemblée au dessus de sa tête, je vois quelques plumes osciller doucement entre air et terre avant de tomber doucement au sol tandis que les ailes se déploient totalement.
Je vis aussi un voile blanc voleter autour d’elle dans une valse assez époustouflante, agissant comme un être doué d’intelligence… A moins qu’il le fut.
La scène avait quelques choses d’incroyable, de fantastique ou même de féérique, il n’y a aucun son que sa respiration et le bruit de ses pas et elle finit par atteindre le milieu de la salle…
La suite fut bien moins belle que ce début pourtant enchanteur et je vis arriver assez vite un homme aux cheveux rouge et aux excroissances osseuses sur le visage qui ressemblait à des cornes, émanant la violence et l’envie de sang dans son entier il se rapprocha d’elle par l’avant.
Une aura… Rouge… Nan… Noir… De meurtre, d’envie… De… Il faisait peur.
Il avait les deux mains sous une cape noire et j’entendis finalement la cape tomber au sol, je vis alors que ses deux mains étaient serrées autour d’une arme, la droite sur la poignée et la gauche sur le fourreau, il était prêt à dégainer.
Je fermais les yeux ne voulant plus voir ce spectacle, j’entendis alors le bruit familier, mais comment pouvait-il me l’être alors que je n’avais jamais approché une arme blanche de ma vie, du frottement du fourreau contre la lame puis je l’entendis une deuxième fois mais plus proche.
Ils avaient tout les deux dégainés et dans les minutes qui suivirent, les frottements, les chocs, contre-chocs et tant d’autre bruit que je reconnaissais d’instinct, pouvant même deviner qui avait porté le coup sans voir la scène, se succédèrent à un rythme effréné et sans même une parole échangée.
Le bruit se faisait insupportable dans mon pauvre crane et je rouvris les yeux pour regarder la scène un instant, la femme était en mauvaise posture ayant à ce que j’en voyais ses habits déchirés par endroit et saignant de multiple blessures et contusions plus ou moins profondes et marquées m ais son voile se dressait parfois sur le chemin d’un coup plus dangereux et l’encaissait sans problème particulier si ce n’est un léger recul.
L’homme quand à lui ne semblait avoir aucune marque et souriait encore et toujours…
Je vis la dite femme porter un dernier coup en y mettant toute sa force, sa hargne et sa sagesse…
Celui-ci effleura seulement la joue de l’homme qui s’en retira avec une marque de coupure et un léger saignement le long de la joue et qui dégoulina jusque au cou, elle tomba au sol épuisée.
J’entendis peu de mots mais la voix froide et implacable avec laquelle ils furent prononcés me restera à jamais en mémoire.
« Adieu Serÿn ce sera notre dernier combat, tu t’es bien défendu sache le, mais pas encore assez… »
Une réponse douce, du moins la voix l’était, me parvint avant la fin.
« Ca se payera Eras… Un jour… »
Et la je vis une scène qui me fit l’effet d’un coup de poing, de plusieurs coups de poing, dans l’estomac ou les poumons.
L’homme nommé Eras releva Serÿn, et je me rappelais alors que son nom était sur la tombe, en la tirant par le bas du cou ou le cuir chevelu peut-être et après l’avoir relevé, lui porta un rapide coup de poing dans le bas-ventre puis au niveau de l’estomac, des côtes, du cœur et des poumons.
Les coups s’enchainaient de plus en plus vite en visant des points précis, vitaux, non vitaux, tous y passaient et je la voyais cracher du sang : c’est alors qu’il reprit son sabre et donna un dernier coup.
L'arme transperça la cage thoracique au niveau du cœur puis traversa le dos et enfin amocha l’aile gauche en l’entaillant, un dernier vomissement de sang et le retrait rapide du sabre en le faisant tourner dans la plaie, un bruit horrible de déchiquetage et ce fut finit.
Elle chutait face au sol, morte et c’est alors que je remarquais que le voile blanc n’avait pu empêcher le dernier coup qui fut bien trop puissant pour sa propre résistance, il retomba par terre…
Une mare de sang commença à se former sous le corps de Serÿn tandis que ses ailes et ses plumes se gorgeaient de son sang en devenant d’un rouge noirâtre, cinq à dix minutes passèrent avant que je ne réalise réellement ce qu’il venait de se passer, ce spectacle m’avait totalement choqué et même traumatisé.
Mais, malheureusement, c’était encore loin d’être finis et quelques minutes plus tard, cinq une fois de plus, et tandis que Eras nettoyait son sabre du sang accumulé dessus, j’entendis la porte claquer ou plutôt se fracasser au sol et en me retournant je vis apparaître un jeune homme aux cheveux d’un blanc éclatant et aux ailes encore plus grandes que celle de Serÿn, cela sans compter sur une aura de combat, de rage, qui me fit peur tellement elle était palpable.
Il entra totalement dans la salle et je pus distinguer un t-shirt avec une croix de type catholique me semblait-il et un jean, je remarquais encore qu’il portait un bandeau et des gants qui avaient l’air doublé en métal, je ne vis plus qu’une chose avant que la pluie de coup ne commence, ce fut l’écharpe qu’il portait au cou et qui agissait comme le faisait il y a peu encore le voile de Serÿn.
Cet homme avait l’air d’une rage hors du commun, essoufflé et pourtant avec un rythme de frappe, une vitesse de mouvement, tellement énorme que la plupart de ces coups échappaient à ma vision et pourtant je voyais Eras contrer les coups les un après les autres sans répliquer, du moins ne pas reculer sous les chocs, il alla même jusque à parler en riant presque en contrant.
« Alors Eïln, on veut venger sa chère Sœurette ? »
La réponse ne se fit guère attendre et je vis le coup le plus violent qu’il avait donné jusque à présent partir du niveau de ses genoux et remonter jusque à la mâchoire de Eras qui ne put l’éviter et recula violemment de plusieurs mètres, sonné.
La rage donnait à Eïln, et ce fut la que je me rappelais qu’il était le nom sur la deuxième tombe, des capacités hors du commun et il profita du choc engendré par la puissance du coup sur les nerfs et terminaisons nerveuse pour se diriger en courant vers sa Sœur.
Il la retourna alors doucement, contemplant le spectacle des blessures, des bleus, des cicatrices, et cette horrible déchirure au niveau du cœur, je savais tout ce qu’il pensait, tout ce qu’il voyait, comme si j’étais à sa place.
Je savais qu’il venait directement du niveau Un, même si je ne comprenais qu’à moitié ce qu’était ce niveau Un, et qu’il avait du pour cela rompre plusieurs règles dont les demandes d’autorisations et autres.
Il avait couru à toute haleine depuis le Passeur, qui était encore un mot que je ne comprenais pas, traversant pour cela toute la ville et il avait fait cela en moins de vingt-cinq minutes, commençant au moment précis ou il avait reçus ce choc mental lui signifiant un malheur arrivant à sa jumelle, ce choc qui était la preuve de leur liaison plus forte que la mort…
Et maintenant il se relevait les larmes aux yeux, il s’essuya les joues d’un geste rapide et je vis son regard aussi rouge que celui de sa défunte sœur briller d’un éclat semblable à la haine la plus pur et la plus violente existante sur cette terre, une haine qui aurait une raison d’exister et ne s’apaiserait jamais…
Il parla alors d’une voix que la violence et la haine rendait dur et froide, une voix qui pourtant ne me fit pas peur mais me rassura au plus profond de mon cœur, la voix que j’avais déjà entendu parler lors de mon premier flash était à peu de choses prêt la même mais je n’y avais alors pas entendu ces accents inspirés par la tristesse de la mort.
« Eras… Tu vas maintenant payer ton action… MEURS DEMON ! »
Et il repartit aussitôt à l’attaque avec encore plus de rage et de force, je remarquais alors qu’Eras avait maintenant du mal à contrer tout les coups et que de plus en plus portaient droit au but.
Peu à peu il gagna du terrain et c’est alors qu’il allait finalement achever le Démon que celui-ci eu une dernière réaction, je vis le fourreau de son sabre tomber au sol, le sabre se redressa alors grâce a un coup de la paume sur la garde, l’angle fit que, sans même l’avoir dégager de sa ceinture, Eïln s’empala dessus à cause de son élan et la pointe porta droit au cœur une fois de plus, et encore une fois le voile, ou l’écharpe, n’avait pu agir…
Il sourit douloureusement et frappa tout de même, le coup porta en pleine tête et Eras alla s’écrouler plus d’une quinzaine de mètre plus loin contre le mur, il se releva et essuya le sang qui perlait de sa bouche avant de finalement cracher un coup, et une dent, et je le vis adresser un regard dédaigneux à Eïln avant de tout bonnement disparaître avec sa cape et son fourreau que je ne l’avais pas vu récupéré.
Les derniers gestes d’Eïln me sont restés en mémoire, du moins jusque à ce que je la perde mais nous y reviendrons.
En effet, il s’obstina à se rapprocher de sa sœur malgré des pertes de sang qui l’affaiblissait de plus en plus, quand il l’eut atteint il noua un bout de son écharpe à l’ancien morceau de voile de sa sœur et je vis les deux fusionner pour ne former plus qu’un ensemble.
C’était ce même ensemble que mon bras avait noué autour de lui…
Il tomba violemment à terre sur ses ailes qui émirent un bruit qui me fit froid dans le dos, mais il souriait douloureusement et s’obstinait à mener sa main droite vers la main gauche de sa sœur, des convulsions violentes le prirent et je me rapprochais d’eux au plus vite, j’avais les larmes aux yeux du moins le pensais-je vu que je ne me voyais pas, et je regardais cette scène.
Je vis le regard d’Eïln devenir gris et fixe tandis que des larmes quittaient ses yeux et que sa main parvenait enfin à serrer celle de sa sœur de toute ses forces, il défaillit à peine deux secondes plus tard dans une dernière convulsion, sa main n’avait pas quitté celle de sa sœur et ses dernières larmes se répandirent sur le sol dans la mare de sang qui les entouraient tout deux, leur sang…
Il souriait, apaisé à jamais…
Au moment ou son dernier soupir passa la barrière de ses lèvres, tout cessa brusquement et je me retrouvais sur la colline, mais elle avait changé.
En effet il n’y avait plus, ou pas encore, les tombes, par contre les corps de ces deux Séraphins, car je savais maintenant qui ils étaient, étaient côte à côte et toujours main dans la main.
La mort les avait réunis à jamais et un sourire ornait maintenant leurs lèvres à tout deux tandis que leurs blessures semblaient disparaître, je vis le voile tomber sur eux deux et il y eu un léger flash, quand je rouvris les yeux il y avait deux tombes relié en leur partie haute par le voile, elles allaient rester ainsi pendant seize longues années…
C’est alors que je revins à moi. ~
Sye Dayma- Voyant "angélique"
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Re: Sye Dayma [validé]
par Sye Dayma Jeu 3 Jan - 19:36
Il se passa cinq minutes ou je restais allongé au sol les yeux fermés et les larmes coulant doucement le long de mes joues mais je finis par redresser le torse pour me retrouver assis, j’essuyais alors les larmes pour ouvrir les yeux et regarder autour de moi.
Toujours en état de choc après ce que je venais d’apprendre, ce qui était tout de même équivalent à sept-cent-vingt ans de mémoire répartie en deux fois, je mis un temps à réaliser que j’étais maintenant assis au bord du lac et que la colline avait disparus et j’eu beau regarder de tout coté je ne la revis pas…
J’en vins finalement à me relever tandis que les bruits du parc me parvenaient au cerveau, le bruit des vagues du lac, des familles riantes, du vent dans les feuilles des arbres, tout cela acheva de me réveiller pour de bon.
Après avoir finis d’émergé et massé ma pauvre nuque je regardais de nouveau mon bras où était encore noué le voile et c’est en le voyant de nouveau que je « compris » comment l’utiliser, bien que pour en arriver à la maîtrise totale il me faudrait des années d’entrainement, et c’est en le saisissant de ma main gauche qu’il se dénoua de mon bras sans problème, comme si j’eu du voir les souvenirs qu’il contenait pour appréhender ne serait-ce qu’un minimum sa puissance.
Tout était une question de maîtrise de son mental et des images qui y sont présentes et c’est ainsi qu’en visualisant différentes pièces de vêtements je me retrouvais avec les dites pièces dans les mains, les une après les autres.
Au final j’en vins à opter pour une sorte d’écharpe, un foulard en fait, que je finis par nouer autour de mon cou doucement, je savais maintenant ce qu’était mes crises d’absence ou du moins je le comprenais un minimum même si les premières paroles de Eïln sur sa sœur m’avait surpris…Comme si j’étais la…Réincarnation de sa Sœur, et plus j’y pensais plus cela m’embêtait, COMMENT cela aurait-il pu être possible…
En rentrant chez moi le soi je ne mangeais rien et préférait aller me coucher directement pour chercher le sommeil, et je le trouvais d’ailleurs bien vite.
Cette nuit la je fis un rêve, à moins que tout ce que je viens de raconter ne soit qu’un rêve, je vis Serÿn me remercier et s’excuser en même temps, nous étions dans une sorte de salle blanche et je ne voyais et entendais qu’elle, les explications furent simple et agrémentées d’un sourire gêné mais aimant, comme envers un enfant, ce que je devais être alors comparé à elle…
« Il se trouve mon petit Sye que lors de ma mort j’ai juré de me venger de ce Démon et mon âme aurait du se réincarner dans un corps d’Ange normal… »
Elle eut un petit toussotement, s’éclaircit la voix et finalement continua.
« …Mais il se trouve aussi qu’à l’instant de ma mort, et celle de mon frère, tout le système a déconné, bloquant mon âme sur ce plan et envoyant celle de mon frère dans ce… Foulard, enfin cela c’était voulus, et provoqué, de sa part pour être sûr de me retrouver après, il avait bien compris que le système déconnait… »
Elle continua de parler doucement, restant souriante.
« Et il advint que tu naisses peu après, j’avais conscience qu’une fois plus grand tu pourrais, tu saurais, m’aider et mon frère l’a compris aussi… »
Je la vis de plus en plus gênée, elle reprit.
« Mais… J’ai pris le contrôle trop tôt avec Eïln, environ dix ans trop tôt, tu n’as pas encore le potentiel de pouvoir et d’énergie qu’il te faut…
C’est pour cela que je vais te laisser le ‘contrôle’ de…J’ai du mal à nommer cela… Nous dirons le contrôle de la matérialisation de mon Aura et de celle de mon frère, ton foulard, qui te révèlera ses capacités peu à peu…
C’est plus qu’un morceau de tissu, bien plus, mon frère et moi avions, partagions, la même Aura et nous avons créé ce voile à partir de cette Aura, lui octroyant des capacités énorme tant en arme qu’en bouclier… »
Je voulais répliquer bien sûr, dire que je ne voulais pas oublier tout ce qui m’était arrivé aujourd’hui, mais elle me sourit doucement et avant que j’ai le temps de parler elle posa son index sur ma bouche et hocha la tête de droite à gauche, je me tus.
« C’est important.
Tu risquerais de te faire pourchasser par les Anges et les Démons pour te récupérer, je ne peux l’accepter et Eïln est d’accord avec moi…Tu as déjà eu assez de problème à cause de moi et de tes cheveux durant ton enfance…
Mais nous nous reverrons, tu verras. »
Elle me fit un dernier sourire et je me suis réveillé, j’étais un peu déboussolé par ce rêve bizarre, me disant en murmurant car il était plus de trois heures du matin et je m’étais réveillé en sursaut.
« Quel rêve bizarre… Pourquoi ai-je rêvé du parc… Et ces êtres ailés… Ils ressemblaient aux Anges de la Bible… Bizarre… »
Oui, bizarre effet…
Et le temps passa doucement, je ne faisais plus attention à ce foulard que je gardais constamment ne l’enlevant que pour me doucher, même en dormant je l’avais sur moi, à mon poignet, à ma nuque, cela dépendait de mon humeur.
Ce que je ne savais alors pas c’est que ma maîtrise de ce ‘contrôle’ s’exerçait au jour le jour pour conserver la forme du foulard, une amélioration inconsciente et progressive de mon petit « pouvoir ».
Et encore une fois la course folle du temps continua malgré tout et durant toutes ces années il ne fut pas rare que certain de mes amis que je qualifierais de sensitif me disent qu’ils sentaient sur moi, autour de moi, comme une présence et même plusieurs, une sorte d’Aura.
Ce sont encore ces mêmes amis qui me dirent à plusieurs reprises que parfois, et surtout en cas de fatigue intense et d’énervement de même acabit, l’on voyait apparaître dans mon dos, de la première vertèbre thoracique à la douzième les articulations, muscles, et plus simplement bases de deux paires d’ailes, deux ailes par côtés de la colonne, ces ailes laissaient toujours tomber quelques plumes en se déployant selon mes amis, le fait est que je n’ai JAMAIS vu ces ailes ni même de plume…
Ils m’ont encore fait part d’une autre rumeur selon laquelle dans les mêmes conditions que précédemment ce serait deux silhouettes qui apparaitrait dans mon dos, et une fois de plus, je n’ai rien noté…
Finalement, l’année de mes vingt-six ans arriva, mes études de médecine finis je me suis installé en ville à mon compte depuis quelques années, et jusque à il y a deux mois je m’ennuyais sévère et c’est alors qu’un jour en sortant de chez moi, dans le quartier résidentiel une maison bien trop grande pour une seule personne, je buttais et tombais, dans tout les sens du terme, sur un hybride en mauvais état
En tant que moi-même et médecin, je me sentis obligé de le soigner, et suite à ce qu’il me raconta sur les Anges, les Démons, les Hybrides, les Chasseurs, toutes ces races et clans, j’eu du mal à y croire au début, puis le temps passant je finis par accepter ces hypothèses et je ne pu que me résoudre à une chose… Me faire ma part dans tout ce bordel.
Il n’y a plus qu’à vivre la vie.
Toujours en état de choc après ce que je venais d’apprendre, ce qui était tout de même équivalent à sept-cent-vingt ans de mémoire répartie en deux fois, je mis un temps à réaliser que j’étais maintenant assis au bord du lac et que la colline avait disparus et j’eu beau regarder de tout coté je ne la revis pas…
J’en vins finalement à me relever tandis que les bruits du parc me parvenaient au cerveau, le bruit des vagues du lac, des familles riantes, du vent dans les feuilles des arbres, tout cela acheva de me réveiller pour de bon.
Après avoir finis d’émergé et massé ma pauvre nuque je regardais de nouveau mon bras où était encore noué le voile et c’est en le voyant de nouveau que je « compris » comment l’utiliser, bien que pour en arriver à la maîtrise totale il me faudrait des années d’entrainement, et c’est en le saisissant de ma main gauche qu’il se dénoua de mon bras sans problème, comme si j’eu du voir les souvenirs qu’il contenait pour appréhender ne serait-ce qu’un minimum sa puissance.
Tout était une question de maîtrise de son mental et des images qui y sont présentes et c’est ainsi qu’en visualisant différentes pièces de vêtements je me retrouvais avec les dites pièces dans les mains, les une après les autres.
Au final j’en vins à opter pour une sorte d’écharpe, un foulard en fait, que je finis par nouer autour de mon cou doucement, je savais maintenant ce qu’était mes crises d’absence ou du moins je le comprenais un minimum même si les premières paroles de Eïln sur sa sœur m’avait surpris…Comme si j’étais la…Réincarnation de sa Sœur, et plus j’y pensais plus cela m’embêtait, COMMENT cela aurait-il pu être possible…
En rentrant chez moi le soi je ne mangeais rien et préférait aller me coucher directement pour chercher le sommeil, et je le trouvais d’ailleurs bien vite.
Cette nuit la je fis un rêve, à moins que tout ce que je viens de raconter ne soit qu’un rêve, je vis Serÿn me remercier et s’excuser en même temps, nous étions dans une sorte de salle blanche et je ne voyais et entendais qu’elle, les explications furent simple et agrémentées d’un sourire gêné mais aimant, comme envers un enfant, ce que je devais être alors comparé à elle…
« Il se trouve mon petit Sye que lors de ma mort j’ai juré de me venger de ce Démon et mon âme aurait du se réincarner dans un corps d’Ange normal… »
Elle eut un petit toussotement, s’éclaircit la voix et finalement continua.
« …Mais il se trouve aussi qu’à l’instant de ma mort, et celle de mon frère, tout le système a déconné, bloquant mon âme sur ce plan et envoyant celle de mon frère dans ce… Foulard, enfin cela c’était voulus, et provoqué, de sa part pour être sûr de me retrouver après, il avait bien compris que le système déconnait… »
Elle continua de parler doucement, restant souriante.
« Et il advint que tu naisses peu après, j’avais conscience qu’une fois plus grand tu pourrais, tu saurais, m’aider et mon frère l’a compris aussi… »
Je la vis de plus en plus gênée, elle reprit.
« Mais… J’ai pris le contrôle trop tôt avec Eïln, environ dix ans trop tôt, tu n’as pas encore le potentiel de pouvoir et d’énergie qu’il te faut…
C’est pour cela que je vais te laisser le ‘contrôle’ de…J’ai du mal à nommer cela… Nous dirons le contrôle de la matérialisation de mon Aura et de celle de mon frère, ton foulard, qui te révèlera ses capacités peu à peu…
C’est plus qu’un morceau de tissu, bien plus, mon frère et moi avions, partagions, la même Aura et nous avons créé ce voile à partir de cette Aura, lui octroyant des capacités énorme tant en arme qu’en bouclier… »
Je voulais répliquer bien sûr, dire que je ne voulais pas oublier tout ce qui m’était arrivé aujourd’hui, mais elle me sourit doucement et avant que j’ai le temps de parler elle posa son index sur ma bouche et hocha la tête de droite à gauche, je me tus.
« C’est important.
Tu risquerais de te faire pourchasser par les Anges et les Démons pour te récupérer, je ne peux l’accepter et Eïln est d’accord avec moi…Tu as déjà eu assez de problème à cause de moi et de tes cheveux durant ton enfance…
Mais nous nous reverrons, tu verras. »
Elle me fit un dernier sourire et je me suis réveillé, j’étais un peu déboussolé par ce rêve bizarre, me disant en murmurant car il était plus de trois heures du matin et je m’étais réveillé en sursaut.
« Quel rêve bizarre… Pourquoi ai-je rêvé du parc… Et ces êtres ailés… Ils ressemblaient aux Anges de la Bible… Bizarre… »
Oui, bizarre effet…
Et le temps passa doucement, je ne faisais plus attention à ce foulard que je gardais constamment ne l’enlevant que pour me doucher, même en dormant je l’avais sur moi, à mon poignet, à ma nuque, cela dépendait de mon humeur.
Ce que je ne savais alors pas c’est que ma maîtrise de ce ‘contrôle’ s’exerçait au jour le jour pour conserver la forme du foulard, une amélioration inconsciente et progressive de mon petit « pouvoir ».
Et encore une fois la course folle du temps continua malgré tout et durant toutes ces années il ne fut pas rare que certain de mes amis que je qualifierais de sensitif me disent qu’ils sentaient sur moi, autour de moi, comme une présence et même plusieurs, une sorte d’Aura.
Ce sont encore ces mêmes amis qui me dirent à plusieurs reprises que parfois, et surtout en cas de fatigue intense et d’énervement de même acabit, l’on voyait apparaître dans mon dos, de la première vertèbre thoracique à la douzième les articulations, muscles, et plus simplement bases de deux paires d’ailes, deux ailes par côtés de la colonne, ces ailes laissaient toujours tomber quelques plumes en se déployant selon mes amis, le fait est que je n’ai JAMAIS vu ces ailes ni même de plume…
Ils m’ont encore fait part d’une autre rumeur selon laquelle dans les mêmes conditions que précédemment ce serait deux silhouettes qui apparaitrait dans mon dos, et une fois de plus, je n’ai rien noté…
Finalement, l’année de mes vingt-six ans arriva, mes études de médecine finis je me suis installé en ville à mon compte depuis quelques années, et jusque à il y a deux mois je m’ennuyais sévère et c’est alors qu’un jour en sortant de chez moi, dans le quartier résidentiel une maison bien trop grande pour une seule personne, je buttais et tombais, dans tout les sens du terme, sur un hybride en mauvais état
En tant que moi-même et médecin, je me sentis obligé de le soigner, et suite à ce qu’il me raconta sur les Anges, les Démons, les Hybrides, les Chasseurs, toutes ces races et clans, j’eu du mal à y croire au début, puis le temps passant je finis par accepter ces hypothèses et je ne pu que me résoudre à une chose… Me faire ma part dans tout ce bordel.
Il n’y a plus qu’à vivre la vie.
Dernière édition par le Jeu 3 Jan - 21:47, édité 1 fois
Sye Dayma- Voyant "angélique"
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Re: Sye Dayma [validé]
par Sye Dayma Jeu 3 Jan - 19:36
Caractère : Mon caractère est une parcelle de moi-même dont je parle rarement, préférant amplement laisser les gens me fréquentant le découvrir peu à peu, mais il se trouve aussi que pour une fois dans ma courte vie, je vais faire une exception et vais vous parlez de ce dit caractère, attendez-vous à recevoir un choc, tout n’est pas toujours comme on pourrait le penser.
Commençons donc, mais je ne garantis pas d’être la personne la mieux placée pour parler de cela, c’est mon propre caractère après tout.
En général, et car il faut bien commencer par des généralités pour en venir à explorer le mental de tout un chacun, je suis une personne très douce, mais quand je dis très douce c’est réellement très, très, douce, pour vous dire à quel point vous pouvez tout simplement vous dire que JAMAIS je ne serais capable de frapper quelqu’un… Si je n’ai pas besoin d’en venir la du moins car si c’est pour me défendre, même la douceur à ses limites et j’ai les miennes.
Je suis aussi quelqu’un de résolument bon, très bon, trop bon selon certain.
Trop bon donc car je ne sais pas faire la part des choses et selon moi tout un chacun mériterait d’être aidé, sans aucun distinction de couleur et autre, il n’y a pas de raison…
Je suis aussi quelqu’un d’assez porté sur la recherche de son alter-égo, je sais bien qu’il, ou elle, doit exister quelque part mais le fait est que je ne sais ABSOLUMENT pas ou pour le moment, donc c’est assez gênant… Donc je me gène pas pour draguer ostensiblement les gens avec qui je sais avoir des chances, quand bien même ne serait-ce que pour me réveiller le lendemain bien au chaud contre quelqu’un sans rien avoir fait de la nuit, oui, je sais, c’est bizarre, mais vous pouvez pas savoir ce que c’est bon quand même…
Et ouais, je suis aussi quelqu’un d’assez pur dans sa manière d’agir et de faire, on ne croirait pas à me regarder faire ou agir, surtout certaine nuit, mais l’un n’empêche pas l’autre, il ne me semble pas avoir fait vœu de chasteté dans une autre vie.
Note du Joueur : Non, décidément, non, je m’arrête la, ce gars est VRAIMENT TROP TORDU pour que je puisse le définir, c’est pas possible, TOTALEMENT impossible, c’est un taré, un fou, un psychopathe planqué…
Aime :
N’aime pas :
Apparence : Mettons nous d’accord sur un point important tout de suite messieurs, et mesdames mais c’est accessoire dans le cas présent, JE SUIS UN MEC !
…Même si cela ne me dérange pas le moins du monde de me faire draguer par des hommes, et des femmes aussi en passant, il fallait que je le définisse tout de suite quand même.
Maintenant que nous avons parlés cette constante, venons-en à la suite qui sera tellement plus intéressante.
Je ne suis pas un modèle de grandeur hors-norme et tout cela, bien au contraire, je mesure une taille qui sans être grande chez un garçon est tout à fait dans une moyenne que j'ai établie de par mon expérience professionnel et personnel, je mesure très précisément un mètre soixante-dix et huit millimètres.
Pour mon poids moyen il oscille gentiment entre quarante-sept à poil et sec à quarante-huit à poil et mouillé… Oh… Habillé cela vous intéresse aussi ?
Et bien habillé je fais un poids de cinquante kilos environ et un petit de plus si je suis dehors sous l’orage, car oui la pluie ça mouille !
Et oui, ma stature se rapprocherait plus de celle que l’on attend chez une femme que chez un homme de vingt-six ans, je sais, je sais, si vous saviez combien de fois on a pu me le dire, et le reste n’arrange rien comme vous allez le voir…
Après ces généralités d’usages venons-en à préciser un peu tout cela et passons aux cheveux.
Mes cheveux, mes cheveux… Mes cheveux sont un peu ma plus grande fierté, oui je sais il m’en faut peu pour être content et alors, donc mes cheveux…
Et bien mes cheveux pour commencer sont d’une couleur qui risque de vous choquez en tant qu’humain, ils sont d’un bleu assez bleu, une couleur qui, en tant qu’humain disais-je, est sensé être TOTALEMENT impossible à avoir et bien pourtant… C’est ma couleur de cheveux et elle est des plus naturel au monde, je suis né avec et je vis avec depuis vingt-six ans malgré les rejets ambiants de la part des autres qui ne veulent, ou ne peuvent, comprendre les différences et vous le voyez je suis encore vivant et bien vivant malgré tout cela, comme quoi les différences peuvent vous forgez plus qu’elles ne vous détruisent… Ou presque.
Que dire de plus, et bien ces chers cheveux qui m’appartiennent me descendent au niveau de la vertèbre S4, dite sacrale 4, ou plus simplement au niveau du sacrum, ils sont souvent attachées en natte pour le rendu et surtout pour le sentiment d’organisation que cela laisse paraître, mes cheveux sont tout de même bien plus court que ceux de mon père à mon âge, nous dirons que je n’ai jamais eu son courage quand aux coups de peigne ou coiffage en générale.
Mon visage a toujours été d’une physionomie très douce, mais réellement très douce, un visage sur lequel un sourire est constamment ‘collé’ sans aucune arrière-pensée, je souris, souris, et souris dans toute les occasions que j’ai de sourire, cela laisse émaner une impression de douceur, de finesse et de gentillesse énorme, quelque choses de très… Hm… Oh oui, je sais, efféminé.
Dans l’ensemble, il est très doux dans ses courbes, des traits fins et très peu marqué, des oreilles qui passe plus souvent sous les cheveux qu’au-dessus, un nez tout aussi fin que mes traits, des lèvres assez peu marqué ou du moins que l’on ne remarque pas car je suis quelque peu pâle, légèrement plus que la moyenne du moins. L’on peut encore noter que mes joues contrastent justement avec mon visage car elles sont toujours légèrement rosé comme si j’avais froid, pas creuse le moins du monde elles me donnent un air bien portant. Mâchoire solide bien que pas forcément extrêmement forte, elle me sert à ce que sert une mâchoire habituelle, faire marcher mes dents pour manger, mes dents d’ailleurs sont… Blanche, et oui, je sais c’est étonnant, mais en tout cas elles font ce qu’on leur demande en temps normal, elles mordent et coupent bien, l’hygiène bucco-dentaire est importante !
Pour finir, mon menton et mon front ne sont pas énormément marqués, mais pas non plus absent, juste ce qu’il faut.
Après ces précisions de bases sur le visage, passons aux yeux.
Je vous le rappelle, les yeux sont les miroirs de l’âme et l’on peut comprendre un individu rient qu’en regardant l’éclat de ses yeux à divers moments, quand il dort, bien que ce soir dur, quand il mange, se bat, souffre…
Oui, je suis très attaché à la signification des yeux car l’on peut tout en savoir, bref.
Mes yeux sont quand à eux d’une couleur qui une fois de plus est très étonnante, imaginez-vous donc, un rouge rubis virant plutôt sanguin par moment, et bien ce sont mes yeux, ils me permettent de voir et je ne leur en demande pas plus. Malgré tout, il est assez vrai qu’ils font très souvent peur aux gens qui ne me connaissent pas, un peu comme mes cheveux en somme, l’on ne peut pas tout avoir donc je me contente de cela et j’en suis très heureux.
Il est à noter qu’ils sont d’une expressivité assez énorme, chez moi plus que des miroirs ils sont le reflet EXACT de ce que je pense, quand je souris cela se voit, quand je gueule, ce qui est très rare, l’énervement se lira dans mes yeux, et si je reste d’une neutralité effarante et bien ils n’exprimeront rien, pas un éclat, ce qui est très déstabilisant il parait… Tant mieux.
Je m'habille comme je veux, comme je peux, et surtout selon mes envies du moment qui peuvent être très variable malgré le fait que, généralement j’en revienne toujours à une tenue à peu de choses prêt semblable, en clair mes habits changent mais se ressemblent toujours.
Je portes donc d’une part un jean, jean noir mais vraiment noir, tout aussi libre pour la course et les mouvements amples ou non car ni trop serré ni pas assez, l’on note la présence d'une ceinture serré autour de ce jean à la taille et passant dans les boucles donc.
Sur le devant l’on trouve une sacoche contenant des médicaments de toutes sortes et d'autres produits un peu moins... conventionnel, de quoi synthétiser en peu de temps pas mal de médicaments assez utile pour un médecin, bref une trousse à pharmacie complète.
Sur la cuisse droite l’on note deux sangles fermé par des boucles argentées et qui maintiennent dans le dos de la cuisse un étui très discret qui me sert généralement à transporter d’une part des seringues et d’autre part deux ampoules de Morphine pour une utilisation… Plutôt illégale devant la loi.
Bah ouais, rien de mieux pour soigner quelqu’un contre la douleur quand on est paumé dehors…
Au niveau du genoux droit, je portes une pochette sur le côté droit de la jambe, le scratch la retenant à ma jambe passe derrière et devant le genoux, et est fixé au dos de la pochette, autant dire qu'elle est bien fixée, elle contient du matériel médicale de base et surtout de quoi opérer rapidement avec des instruments sains contenus dans un milieu désinfectés. En effet j'ai dedans des instruments sous sachets hermétiques pour me permettre de ne pas avoir à en nettoyer en cas d'urgence, mais il est à dire que j’ai rarement à utiliser ces instruments que mon père m’a fournis, j’opère jamais en dehors d’un bloc normalement…
Mes baskets sont d’une couleur oscillant entre un noir foncé et une sorte de gris, mais cela reste assez noir tout de même.
Je porte en plus de cela un t-shirt qui est dans les tons de tout mes autres vêtements c'est-à-dire d’un noir qui est noir, vous n’aviez pas deviné je suis sûr, il est assez intéressant car le col en est fendus jusque au un-quart du torse en partant du cou. Les manches arrivent à environ la moitié du bras au dessus de l’épaule et l’on peut noter que la manche droite est marqué d’une croix de type templière au niveau de l’épaule.
Ma veste quand à elle est assez simple en soi, fermeture éclair, chaude, en cuir, fourrure au col et au poignet ce qui assure une bonne chaleur et je ne connais rien de mieux contre la déperdition de chaleur alors…
Je ne la ferme que très rarement malgré cela et il est à savoir que la poche gauche au niveau du cœur comporte mon portefeuille avec toute mes pièces d’identités, il y a aussi la croix templière sur l’épaule gauche encore.
Enfin, et c’est le dernier point important, j’ai toujours soi au cou soi au poignet une écharpe ou un foulard blanc, ne me demandez SURTOUT PAS d’où je sors cette écharpe ou ce foulard, sachant que quand j’ai l’un je ne retrouve pas l’autre…
Je me résumerais en quelques mots ma situation pour conclure.
Si vous me regardez de devant, de derrière, de côté, sans me parler ou me connaître, il a y de très forte chance que vous me preniez pour une fille…
Signe(s) particulier(s) : Mon foulard blanc toujours noué soi à ma nuque soi à l’un de mes poignets, les différents signes que les gens sensitifs remarquent sur moi.
Arme : Encore inconnue, ça va viendre, ça va viendre.
Pouvoir : Voyant.
Commençons donc, mais je ne garantis pas d’être la personne la mieux placée pour parler de cela, c’est mon propre caractère après tout.
En général, et car il faut bien commencer par des généralités pour en venir à explorer le mental de tout un chacun, je suis une personne très douce, mais quand je dis très douce c’est réellement très, très, douce, pour vous dire à quel point vous pouvez tout simplement vous dire que JAMAIS je ne serais capable de frapper quelqu’un… Si je n’ai pas besoin d’en venir la du moins car si c’est pour me défendre, même la douceur à ses limites et j’ai les miennes.
Je suis aussi quelqu’un de résolument bon, très bon, trop bon selon certain.
Trop bon donc car je ne sais pas faire la part des choses et selon moi tout un chacun mériterait d’être aidé, sans aucun distinction de couleur et autre, il n’y a pas de raison…
Je suis aussi quelqu’un d’assez porté sur la recherche de son alter-égo, je sais bien qu’il, ou elle, doit exister quelque part mais le fait est que je ne sais ABSOLUMENT pas ou pour le moment, donc c’est assez gênant… Donc je me gène pas pour draguer ostensiblement les gens avec qui je sais avoir des chances, quand bien même ne serait-ce que pour me réveiller le lendemain bien au chaud contre quelqu’un sans rien avoir fait de la nuit, oui, je sais, c’est bizarre, mais vous pouvez pas savoir ce que c’est bon quand même…
Et ouais, je suis aussi quelqu’un d’assez pur dans sa manière d’agir et de faire, on ne croirait pas à me regarder faire ou agir, surtout certaine nuit, mais l’un n’empêche pas l’autre, il ne me semble pas avoir fait vœu de chasteté dans une autre vie.
Note du Joueur : Non, décidément, non, je m’arrête la, ce gars est VRAIMENT TROP TORDU pour que je puisse le définir, c’est pas possible, TOTALEMENT impossible, c’est un taré, un fou, un psychopathe planqué…
Aime :
- Les grasses-matinées sous la couette avec quelqu’un à côté pour que je puisse me blottir bien au chaud… Qui a dit que j’étais très libéré au fond de la salle ?
- Rêver de choses fantastiques, de rêve doux et si beau que l’on s’en rappelle au réveil et ce pendant toute une vie.
- La douceur et la gentillesse que je sais pouvoir démasquer ou du moins pister au fond du cœur de chacun.
- Lire de peu avant le lever du soleil jusque très tard le soir à l’ombre d’un arbre dans le parc.
- Le calme de la nuit dans le même parc lorsque j’ai besoin de me libérer d’envie violente qui pourraient blesser les gens m’entourant.
N’aime pas :
- L’hypocrisie de l’espèce humaine visant à faire croire que l’on vous aime pour ce que vous êtes alors qu’il n’en est rien.
- Le rejet ambiant qu’inspire la moindre différence avec les normes de bases des gens.
- La guerre secrète qui a lieu entre les Anges et les Démons qui a le don de m’emmerder cordialement.
- Mes crises d’absences quand j’en ai.
- Perdre la mémoire, ce qui ne m’arrive heureusement jamais.
Apparence : Mettons nous d’accord sur un point important tout de suite messieurs, et mesdames mais c’est accessoire dans le cas présent, JE SUIS UN MEC !
…Même si cela ne me dérange pas le moins du monde de me faire draguer par des hommes, et des femmes aussi en passant, il fallait que je le définisse tout de suite quand même.
Maintenant que nous avons parlés cette constante, venons-en à la suite qui sera tellement plus intéressante.
Je ne suis pas un modèle de grandeur hors-norme et tout cela, bien au contraire, je mesure une taille qui sans être grande chez un garçon est tout à fait dans une moyenne que j'ai établie de par mon expérience professionnel et personnel, je mesure très précisément un mètre soixante-dix et huit millimètres.
Pour mon poids moyen il oscille gentiment entre quarante-sept à poil et sec à quarante-huit à poil et mouillé… Oh… Habillé cela vous intéresse aussi ?
Et bien habillé je fais un poids de cinquante kilos environ et un petit de plus si je suis dehors sous l’orage, car oui la pluie ça mouille !
Et oui, ma stature se rapprocherait plus de celle que l’on attend chez une femme que chez un homme de vingt-six ans, je sais, je sais, si vous saviez combien de fois on a pu me le dire, et le reste n’arrange rien comme vous allez le voir…
Après ces généralités d’usages venons-en à préciser un peu tout cela et passons aux cheveux.
Mes cheveux, mes cheveux… Mes cheveux sont un peu ma plus grande fierté, oui je sais il m’en faut peu pour être content et alors, donc mes cheveux…
Et bien mes cheveux pour commencer sont d’une couleur qui risque de vous choquez en tant qu’humain, ils sont d’un bleu assez bleu, une couleur qui, en tant qu’humain disais-je, est sensé être TOTALEMENT impossible à avoir et bien pourtant… C’est ma couleur de cheveux et elle est des plus naturel au monde, je suis né avec et je vis avec depuis vingt-six ans malgré les rejets ambiants de la part des autres qui ne veulent, ou ne peuvent, comprendre les différences et vous le voyez je suis encore vivant et bien vivant malgré tout cela, comme quoi les différences peuvent vous forgez plus qu’elles ne vous détruisent… Ou presque.
Que dire de plus, et bien ces chers cheveux qui m’appartiennent me descendent au niveau de la vertèbre S4, dite sacrale 4, ou plus simplement au niveau du sacrum, ils sont souvent attachées en natte pour le rendu et surtout pour le sentiment d’organisation que cela laisse paraître, mes cheveux sont tout de même bien plus court que ceux de mon père à mon âge, nous dirons que je n’ai jamais eu son courage quand aux coups de peigne ou coiffage en générale.
Mon visage a toujours été d’une physionomie très douce, mais réellement très douce, un visage sur lequel un sourire est constamment ‘collé’ sans aucune arrière-pensée, je souris, souris, et souris dans toute les occasions que j’ai de sourire, cela laisse émaner une impression de douceur, de finesse et de gentillesse énorme, quelque choses de très… Hm… Oh oui, je sais, efféminé.
Dans l’ensemble, il est très doux dans ses courbes, des traits fins et très peu marqué, des oreilles qui passe plus souvent sous les cheveux qu’au-dessus, un nez tout aussi fin que mes traits, des lèvres assez peu marqué ou du moins que l’on ne remarque pas car je suis quelque peu pâle, légèrement plus que la moyenne du moins. L’on peut encore noter que mes joues contrastent justement avec mon visage car elles sont toujours légèrement rosé comme si j’avais froid, pas creuse le moins du monde elles me donnent un air bien portant. Mâchoire solide bien que pas forcément extrêmement forte, elle me sert à ce que sert une mâchoire habituelle, faire marcher mes dents pour manger, mes dents d’ailleurs sont… Blanche, et oui, je sais c’est étonnant, mais en tout cas elles font ce qu’on leur demande en temps normal, elles mordent et coupent bien, l’hygiène bucco-dentaire est importante !
Pour finir, mon menton et mon front ne sont pas énormément marqués, mais pas non plus absent, juste ce qu’il faut.
Après ces précisions de bases sur le visage, passons aux yeux.
Je vous le rappelle, les yeux sont les miroirs de l’âme et l’on peut comprendre un individu rient qu’en regardant l’éclat de ses yeux à divers moments, quand il dort, bien que ce soir dur, quand il mange, se bat, souffre…
Oui, je suis très attaché à la signification des yeux car l’on peut tout en savoir, bref.
Mes yeux sont quand à eux d’une couleur qui une fois de plus est très étonnante, imaginez-vous donc, un rouge rubis virant plutôt sanguin par moment, et bien ce sont mes yeux, ils me permettent de voir et je ne leur en demande pas plus. Malgré tout, il est assez vrai qu’ils font très souvent peur aux gens qui ne me connaissent pas, un peu comme mes cheveux en somme, l’on ne peut pas tout avoir donc je me contente de cela et j’en suis très heureux.
Il est à noter qu’ils sont d’une expressivité assez énorme, chez moi plus que des miroirs ils sont le reflet EXACT de ce que je pense, quand je souris cela se voit, quand je gueule, ce qui est très rare, l’énervement se lira dans mes yeux, et si je reste d’une neutralité effarante et bien ils n’exprimeront rien, pas un éclat, ce qui est très déstabilisant il parait… Tant mieux.
Je m'habille comme je veux, comme je peux, et surtout selon mes envies du moment qui peuvent être très variable malgré le fait que, généralement j’en revienne toujours à une tenue à peu de choses prêt semblable, en clair mes habits changent mais se ressemblent toujours.
Je portes donc d’une part un jean, jean noir mais vraiment noir, tout aussi libre pour la course et les mouvements amples ou non car ni trop serré ni pas assez, l’on note la présence d'une ceinture serré autour de ce jean à la taille et passant dans les boucles donc.
Sur le devant l’on trouve une sacoche contenant des médicaments de toutes sortes et d'autres produits un peu moins... conventionnel, de quoi synthétiser en peu de temps pas mal de médicaments assez utile pour un médecin, bref une trousse à pharmacie complète.
Sur la cuisse droite l’on note deux sangles fermé par des boucles argentées et qui maintiennent dans le dos de la cuisse un étui très discret qui me sert généralement à transporter d’une part des seringues et d’autre part deux ampoules de Morphine pour une utilisation… Plutôt illégale devant la loi.
Bah ouais, rien de mieux pour soigner quelqu’un contre la douleur quand on est paumé dehors…
Au niveau du genoux droit, je portes une pochette sur le côté droit de la jambe, le scratch la retenant à ma jambe passe derrière et devant le genoux, et est fixé au dos de la pochette, autant dire qu'elle est bien fixée, elle contient du matériel médicale de base et surtout de quoi opérer rapidement avec des instruments sains contenus dans un milieu désinfectés. En effet j'ai dedans des instruments sous sachets hermétiques pour me permettre de ne pas avoir à en nettoyer en cas d'urgence, mais il est à dire que j’ai rarement à utiliser ces instruments que mon père m’a fournis, j’opère jamais en dehors d’un bloc normalement…
Mes baskets sont d’une couleur oscillant entre un noir foncé et une sorte de gris, mais cela reste assez noir tout de même.
Je porte en plus de cela un t-shirt qui est dans les tons de tout mes autres vêtements c'est-à-dire d’un noir qui est noir, vous n’aviez pas deviné je suis sûr, il est assez intéressant car le col en est fendus jusque au un-quart du torse en partant du cou. Les manches arrivent à environ la moitié du bras au dessus de l’épaule et l’on peut noter que la manche droite est marqué d’une croix de type templière au niveau de l’épaule.
Ma veste quand à elle est assez simple en soi, fermeture éclair, chaude, en cuir, fourrure au col et au poignet ce qui assure une bonne chaleur et je ne connais rien de mieux contre la déperdition de chaleur alors…
Je ne la ferme que très rarement malgré cela et il est à savoir que la poche gauche au niveau du cœur comporte mon portefeuille avec toute mes pièces d’identités, il y a aussi la croix templière sur l’épaule gauche encore.
Enfin, et c’est le dernier point important, j’ai toujours soi au cou soi au poignet une écharpe ou un foulard blanc, ne me demandez SURTOUT PAS d’où je sors cette écharpe ou ce foulard, sachant que quand j’ai l’un je ne retrouve pas l’autre…
Je me résumerais en quelques mots ma situation pour conclure.
Si vous me regardez de devant, de derrière, de côté, sans me parler ou me connaître, il a y de très forte chance que vous me preniez pour une fille…
Signe(s) particulier(s) : Mon foulard blanc toujours noué soi à ma nuque soi à l’un de mes poignets, les différents signes que les gens sensitifs remarquent sur moi.
Arme : Encore inconnue, ça va viendre, ça va viendre.
Pouvoir : Voyant.
¤¤¤
Nom: Vlëîn.
Prénom: Eras.
Age: 365 ans.
Type de Combat: Supposé polyvalent avec une préférence pour le sabre.
Classification: Classé ED (Extrémement-Dangeureux), à éviter ABSOLUMENT si non-Séraphin.
Aucun grade ne lui ait connus, d'ailleurs, personne le connait tout court.
Statut: Disparus en mission, corps non retrouvé... Ni les objectifs de la mission ou ses armes et habits...
![Sye Dayma [validé] Tek070118052d67kp0](https://2img.net/r/ihimizer/img155/4336/tek070118052d67kp0.png)
Alors lui... Lui... Bah lui... Lui, c'est LE gars à éviter à tout prix et dans toutes les situations sans quoi l'on peut lancer les paris sur la survie et le temps qu'il nous reste dans cette dite compétence de survie... Suffit de regarder les deux Anges suivants, ils y ont laissé leur peau...
¤¤¤
Nom: Lenires.
Prénom: Serÿn.
Age: 360 ans.
Type de Combat: Sabre type Japonais.
Classification: Totalement Inconnue / Classée Secret-Défense.
Elle est supposée Séraphin, l'on dit supposée car personne n'a d'information réelle sur elle depuis sa mort, les dossiers cela disparait si bien dans le feu...
Statut: Morte. (Assassinée en mission au niveau 0.)
![Sye Dayma [validé] Tek07011758b473sn0](https://2img.net/r/ihimizer/img155/3696/tek07011758b473sn0.png)
¤¤¤
Nom: Lenires.
Prénom: Eïln.
Age: 360 ans.
Type de Combat: Main nue.
Classification: Totalement Inconnue / Classée Secret-Défense.
Il est supposé Séraphin, l'on dit supposé car personne n'a d'information réelle sur lui depuis sa mort, c'est fou ce que les dossiers informatiques et écrit ont tendance à disparaitre.
Statut: Mort. (Assassiné en essayant de venger sa soeur jumelle.)
![Sye Dayma [validé] Tek070117011677up4](https://2img.net/r/ihimizer/img155/6349/tek070117011677up4.png)
Nom: Vlëîn.
Prénom: Eras.
Age: 365 ans.
Type de Combat: Supposé polyvalent avec une préférence pour le sabre.
Classification: Classé ED (Extrémement-Dangeureux), à éviter ABSOLUMENT si non-Séraphin.
Aucun grade ne lui ait connus, d'ailleurs, personne le connait tout court.
Statut: Disparus en mission, corps non retrouvé... Ni les objectifs de la mission ou ses armes et habits...
Alors lui... Lui... Bah lui... Lui, c'est LE gars à éviter à tout prix et dans toutes les situations sans quoi l'on peut lancer les paris sur la survie et le temps qu'il nous reste dans cette dite compétence de survie... Suffit de regarder les deux Anges suivants, ils y ont laissé leur peau...
¤¤¤
Nom: Lenires.
Prénom: Serÿn.
Age: 360 ans.
Type de Combat: Sabre type Japonais.
Classification: Totalement Inconnue / Classée Secret-Défense.
Elle est supposée Séraphin, l'on dit supposée car personne n'a d'information réelle sur elle depuis sa mort, les dossiers cela disparait si bien dans le feu...
Statut: Morte. (Assassinée en mission au niveau 0.)
¤¤¤
Nom: Lenires.
Prénom: Eïln.
Age: 360 ans.
Type de Combat: Main nue.
Classification: Totalement Inconnue / Classée Secret-Défense.
Il est supposé Séraphin, l'on dit supposé car personne n'a d'information réelle sur lui depuis sa mort, c'est fou ce que les dossiers informatiques et écrit ont tendance à disparaitre.
Statut: Mort. (Assassiné en essayant de venger sa soeur jumelle.)
Dernière édition par le Dim 6 Jan - 17:45, édité 3 fois
Sye Dayma- Voyant "angélique"
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Re: Sye Dayma [validé]
par Nonimizu Jeu 3 Jan - 21:55
Bienvenu à toi Sye.
Alors que dire ? O_O Heu je suis resté assez scotchée sur l'histoire, en sachant qu'à vrai dire c'est une très très belle fiche, je crois ne pas être dans l'état de choisir ou non de ta validation tellement mon jugement est faussé. Mais bon on va pas t'embéter, et tu seras validé si un deuxième admin est d'accord.
J'ai pourtant deux questions simples et rapides :
-Ton personnage est bien voyant ? Il est capable de reconnaître Ange ou Démon d'un simple regard. Ce n'est pas vraiment précisé, et pourtant il n'est possible de jouer que des "voyants" sur ce forum. Ce serait à placer dans "Arme ou Pouvoir".
-Le tissu, il est imprégné de deux âmes donc, mais est-il capable de répondre à ta volonté ou de te protégé, comme il semblait capable de faire pour les jumeaux de ton histoire ? Même si d'après ce que j'ai compris tu possèdes une emprise sur lui mais qui reste faible, j'aurais juste voulus savoir jusqu'à quel point tu pouvais t'en servir, ou jusqu'à quel point il était capable de se manifester par la volonté des âmes qui l'imprègne.
Alors que dire ? O_O Heu je suis resté assez scotchée sur l'histoire, en sachant qu'à vrai dire c'est une très très belle fiche, je crois ne pas être dans l'état de choisir ou non de ta validation tellement mon jugement est faussé. Mais bon on va pas t'embéter, et tu seras validé si un deuxième admin est d'accord.
J'ai pourtant deux questions simples et rapides :
-Ton personnage est bien voyant ? Il est capable de reconnaître Ange ou Démon d'un simple regard. Ce n'est pas vraiment précisé, et pourtant il n'est possible de jouer que des "voyants" sur ce forum. Ce serait à placer dans "Arme ou Pouvoir".
-Le tissu, il est imprégné de deux âmes donc, mais est-il capable de répondre à ta volonté ou de te protégé, comme il semblait capable de faire pour les jumeaux de ton histoire ? Même si d'après ce que j'ai compris tu possèdes une emprise sur lui mais qui reste faible, j'aurais juste voulus savoir jusqu'à quel point tu pouvais t'en servir, ou jusqu'à quel point il était capable de se manifester par la volonté des âmes qui l'imprègne.
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Re: Sye Dayma [validé]
par Sandalphon Jeu 3 Jan - 22:05
Noni, oui, c'est un voyant en fait. ^^
Pour moi c'est validiiish. X___X (Car sinon faudrait refaire toute la fiche XD.)
Pour moi c'est validiiish. X___X (Car sinon faudrait refaire toute la fiche XD.)
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Re: Sye Dayma [validé]
par Sye Dayma Jeu 3 Jan - 22:09
Bon, donc, je confirme, c'est un voyant, et pour répondre à la question, en réalité, il n'y a dans le tissu qu'une âme, celle du frère, qui a la fâcheuse tendance à agir un peu de son plein gré quand il le veut pour protéger le personnage, et l'âme de sa soeur, c'est à dire qu'il n'y a pas vraiment d'emprise dessus, c'est beaucoup d'inconscient qui agit dans cela, mais dans le pire des cas, et après évolution douce dans le RP en jouant, il est possible que l'emprise en vienne au point que le personnage contrôle totalement ce tissu... Pour le moment, c'est très loin d'être le cas, il réalise même pas vraiment ce que c'est...
Juste un morceau de tissu.
Bref kwoa...
Je vais rajouter voyant dans pouvoir et arme.
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Bref kwoa...
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Re: Sye Dayma [validé]
par Nonimizu Jeu 3 Jan - 22:11
Très bien Sye, merci pour la précision...
Bon jeu !
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