Maalen Koran

Mon cher époux a vainement tenté de corriger mes fautes ... C'est donc à lui qu'il faut s'en prendre s'il en a oublié :-
**autoshoot**

Nom : Koran

Prénom : Maalen

Surnom : Maal

Âge : 264 ans soit, pour les humains, tout juste 22 ans.

Sexe : Féminin

Rang : Séraphin depuis peu

Statut : Mariée

Tendances : A en juger par le sexe de son époux, hétérosexuelle

Métier: Professeur de physique-chimie

Famille : Nombreuse … Est-il nécessaire de préciser que cela peut être aussi pesant que d’être seul(e) ? ! Maalen a passé son enfance entourée de ses frères et sœurs (six en la comptant) mais également de ses cousins plus ou moins proches. La famille Aslaya a toujours été très attachée aux valeurs telles que la famille, l’hospitalité pour ceux de son espèce ou la dignité intrinsèque de l’Ange. Aussi leur a-t-il paru tout naturel d’adopter un ange orphelin. Sans se douter, qu’un jour, il ferait réellement partie de la famille …

Passé :
La vie est un long fleuve tranquille … Ma vie pourrait, je crois, se résumer à cela. Avec, comme au milieu de tous les fleuves aujourd’hui salis par la main de l’homme, un point d’ancrage, solide comme le roc. Neñveriel. Mais loin d’être aussi laid que ces amas de béton armé, il est comme une bouée à laquelle je peux m’accrocher lorsque je me noie. La source de tout ceci remonte à l’âge de 168 ans. Ou peut-être bien avant …
Je suis donc née dans la famille Aslaya. Large et aimante famille où solitude est un mot incongru. Toute mon enfance, j’ai recherché cet abandon, ce silence, loin de tout. Je suis l’aînée. Du moins, c’est ce qu’on a toujours dit. Aussi loin que je me souvienne, il y avait quelqu’un d’autre au-dessus de moi. Un frère, plus vieux, plus grand, plus fort. Le genre dont les petites sœurs tombent amoureuses avant qu’elles ne comprennent les liens du sang. Dans l’enfance, je ne comprenais pas sa disparition soudaine. Ni le froid glacial dans lequel ma famille avait alors été plongée ni l’oubli de cet être. Mes parents avaient tout fait pour me convaincre de sa non-existence. J’y ai longtemps cru, d’ailleurs. Puis Neñveriel est arrivé chez nous et j’ai oublié mes jeux de gamines et ce frère imaginaire. Je m’étais trouvé un vrai grand-frère. Et tellement plus proche de moi. Au départ, il était timide et renfermé, ce qu’il est toujours un peu oserais-je dire. Mais moi … J’étais joyeuse, sociale. Et puis, tout a changé … Je ne saurais dire quand exactement. En fait si. Je sais exactement ce qui a produit ce changement. Mais en parler ? … C’était une nuit comme toutes les autres. Je revois son visage, éclairé par la lune. Je dormais, à l’époque, avec les fenêtres ouvertes. J’en suis incapable aujourd’hui. Non pas par peur car ce sentiment est bien trop complexe pour être de la peur … Il avait les traits de mon père étant jeune. Je n’ai pas compris sur le moment. Ou bien n’ai-je pas voulu comprendre ? Ses yeux étaient atroces, son regard cruel. Je revois ses lèvres se rapprocher de mon cou, je ressens la brûlure. J’ai toujours, aujourd’hui, cette petite cicatrice fine sous l’oreille gauche. Je ne me souviens que de ça. Du moins, ce sont les seules images dont je veux me souvenir. Ce n’est que bien plus tard que j’ai compris … Lorsque j’ai rencontré celui qui fut mon maître à penser. Mais revenons là où je m’étais arrêtée. C’est alors que je suis devenue plus fermée, plus froide. Les crises ont commencé. Rien de bien impressionnant. Juste la tête qui tourne, des nausées. Je les appelle « crises » car c’est ce qui ce déroule dans ma tête. Rupture violente, avalanche de pensées noires qui dévastent tout sur leur passage. Je ne peux que me rouler en boule et attendre que cela passe. Peu à peu, je me suis éloignée de tous mes amis. Par peur qu’ils ne s’en rendent compte et par désintérêt. Un seul est resté. Neñveriel. Je crois qu’il a toujours su que quelque chose se brisait parfois en moi mais nous n’en avons jamais parlé. Au début, je pense que je n’éprouvais que de l’affection pour lui. Ce n’était pas son cas. C’est le genre de chose que l’on pressent sans vraiment le sentir. En vérité, nous sommes ensemble depuis l’âge de 168 ans. Mais, à cette époque, je ne crois pas que j’avais réellement conscience de ce que cela signifiait. A présent, je sais que je l’aime, de tout mon cœur. Sans passion ardente mais avec beaucoup de tendresse. Mon cœur a battu la chamade lors de notre mariage, très précoce, je souris en le voyant. Mais pas de déchirement comme le racontent les auteurs que je lisais jeune fille. Je l’ai trompé deux fois. La première était charnelle, par désir de changement. J’ai vite oublié cet autre auquel nous ne faisons jamais allusion. La deuxième fois, l’a-t-il seulement su ? Il a sentit une différence, c’est sûr mais je ne lui ai jamais rien dit. C’était mon professeur. Il m’a pris sous son aile, m’a appris à voir différemment. Cette relation ne peut se résumer à une simple suite de mots. Il était marié et il ne s’est jamais rien passé. Mais notre attirance était plus forte que nos corps. Il m’a fait comprendre ce que je ne voulais pas voir. Un frère déchu, une famille détruite par cette histoire. C’est à ce moment que je me suis éloignée des Aslaya et que j’ai épousé Neñ. Pour fuir, certes mais surtout par amour aussi. Parce qu’il m’avait donné une refuge pour y dissimuler mes émotions. Plus tard, j’ai obtenu mon diplôme et suis devenue professeur. Mais quelque fois, les crises reviennent …
Résumé : Malgré sa famille qui la présente comme la plus âgée de ses frères et sœurs, Maalen est persuadée d’avoir eu, un jour, un grand frère. Oublié de tous, il semble même n’avoir jamais existé. Ce vide fut comblé lorsque ses parents accueillirent Neñveriel sous leur toit et la petite ange put alors terminer une enfance joyeuse et insouciante. Vers l’âge de 168 ans, elle se rendit compte que Neñ était et serait sûrement toujours bien plus qu'un ami mais, tout à son apprentissage de la vie, elle tenta par deux fois de s’extraire de cet amour parfait. Sa première trahison fut charnelle et sans importance pour elle. Quelque temps plus tard, son passé la rattrapa lorsqu’un jour, un ange déchu pénétra dans sa chambre. Sans savoir réellement pourquoi, elle se referma alors sur elle et devint la jeune femme douce mais effacée et mystérieuse qu’elle est aujourd’hui. La seconde fois qu’elle trompa son futur époux était de l’ordre du psychique, avec un Ange beaucoup plus vieux qu’elle qui fut, en quelque sorte, son Tuteur et son Mentor. Elle comprit la lourde vérité sur ce frère inexistant, à savoir qu’il avait succombé au pécher et s’éloigna de sa famille pour épouser son ami d’enfance. Mais sa rencontre avec son l'être maléfique l'avait aussi marquée plus durement puisqu'elle est, depuis ce jour, en proie à des sortes de "crises" peu signifiantes mais extrêmement troublantes. A SUIVRE …


Caractère : A première vue, le caractère de Maalen est semblable à son physique. Simple et unie, fade. La jeune femme n’est pas du genre extravertie, à exposer ses pensées aux vues de tous. Réservée, elle semblerait froide s’il n’y avait pas une douceur incongrue dans ses yeux, une lueur qui semble vous dire qu’elle ne pourra jamais vous faire le moindre mal. Même si, pour ressentir un tel effet, il faudrait l’avoir fixée pendant des heures et des heures. On comprendra donc tout naturellement que cette remarque vienne de son époux. D’ailleurs, bien malgré elle, Maal ne peut s’empêcher d’appliquer cette même distance à celui qui partage sa vie. Il la connaît par cœur mais ses pensées immédiates lui restent insondables. Ce trait de caractère s’est développé durant son adolescence et contraste avec l’enfant joyeuse et turbulente qu’elle était. Mais il est bien connu que l’on s’assagit avec l’âge … Malgré l’éloignement de sa famille, Maalen en conserve la plupart des principes : haines des démons, culte d’Hua Mei, respect des autres Anges, Justice, Compassion. Très droite dans sa façon d’agir comme de penser, elle n’œuvre pas pour le bien de tous mais tente de rester fidèle à ses convictions et intègre dans toutes les situations.

Apparence : De loin, Maalen ressemble à toute autre jeune femme croisée dans la rue. De taille moyenne, de poids moyen. Une silhouette féminine mais sans courbes exagérées. Peut-être quelques rondeurs sur les hanches et les cuisses, restes de l’enfance. Sobre. Jusque dans sa coiffure : un simple dégradé sur de longs cheveux châtains au retombé élégant, sa fierté ; et ses yeux d’un brun sombre. Lorsque l’on s’approche, son visage, lisse au premier abord. Comme celui de tant d’autres Anges que l’on voit et que l’on oublie. Puis son sourire. Une fossette au creux de la pommette et, pour ceux qui la connaissent, le monde qui s’éclaire. Des lèvres fines, un peu trop peut-être, un front haut et un nez droit. Des oreilles qui, quoique banales l’ont toujours dérangée un peu d’où son éternelle habitude à laisser sa chevelure tomber, lâche, sur ses épaules. Son regard, bien qu’expressif, semble souvent perdu, comme mélancolique. Certains diraient qu’une tristesse infinie se cache au fond de son âme et se reflète dans ses iris auburn mais sans doute ces gens-là ne seront-ils que des poètes, prompts à tout embellir. En vérité, Maalen est loin d’être belle. Elle est jolie, ça oui. Mignonne, même, ou attirante. Mais il lui manque un petit quelque chose pour atteindre cette dimension de beauté vantée par les artistes. Bien qu’aux yeux de son mari elle paraisse extraordinaire, elle est, en réalité, d’un physique banal mais non dépourvu d’attraits.

Arme(s) / Niveau de maîtrise des pouvoirs: Maalen ne possède aucune arme si ce n’est un redoutable … MARI ! Quoi ? ! Vous ne pensez pas qu’un homme en colère parce qu’on OSE toucher à sa femme puisse être une défense suffisante ? Vous avez tort. Même le plus doux des agneaux se révèle alors un fauve fou furieux …
Pour ce qui est du pouvoir, elle possède celui de l’Eau. H2O. Elément essentiel à la vie et souvent la base de la plupart des réactions organiques. La jeune Séraphine se débrouille assez bien pour ce qui est de la maîtrise seule, devant son plan de travail mais elle a toujours eu plus ou moins de mal à l’utiliser en public. Faire de légères et élégantes arabesque devant ses élèves lui paraît bien plus simple que de noyer un démon sous une vague destructrice. Mais qui sait ? … Une femme ne peut-elle se transformer en furie lorsque l’homme qu’elle aime est en danger ? !

... un Ange pas si Angélique que ça ^^...

Personnellement je vois rien à redire à ta fiche, maintenant il faut attendre l'avis d'un autre Admin.

Oh, ça va encore, elle est plutôt angélique celle-ci. Hein ? XD

Sinon, euh...

Tu sais que tu écris bien, hein ? Que tu es belle et tout et tout (avec de magnifiques jambes) ? Que j'ai un QI relativement très faible et...

Et j'ai rien compris à cette période d'enfance. o_o Enfin... euh... ça va encore. Mais bon. Si tu pouvais clarifier... (et mettre les âges réels : un âge humain, ça n'existeuh paas.) Pas obligé parce que j'ai bien compris que c'était fait exprès, mais bon.


Voilà, et à part ça (la fiche est courte, non ? Enfin) c'est OK pour moi aussi. ^^

Courte ?!
Mais je te merdeeeeuuuuhh !
C'pas toi qui a fait une pause de huit mois :p
Je la trouve hyper Angélique *-* Surtout comparée à la blondasse du dessus :p

Erf. L'histoire est confuse, hein ? :-
**va tenter de réécrire ça**

Et caresse-moi encore un peu dans le sens du poil si tu ne veux pas que je te fasse la tronche pour toutes les horreurs que tu m'as dites.

Oh non ! tu étais enceinte ?
Ok, je sors XD.

La blondasse du dessus est mi-angélique mi-démoniaque, très chère.

Sinon, merci pour ce résumé, c'est beaucouuup plus clair comme ça. ^^ (Par contre c'est "accueillirent" et pas "accueillir" X_x.)

Fiche validée pour moi. =)

(J'en ai pour encore combien de compliments ?)

"elle se rendit compte que Neñ n’était et ne serait sûrement jamais rien qu’un ami mais, tout à son apprentissage de la vie, elle tenta par deux fois de s’extraire de cet amour parfait."

Ce serait pas un paradoxal? "rien qu'un ami" "amour parfait"

Gné? Je sais plus quoi penser moi!

Ecoute. Vu l'heure à laquelle ça a été écrit, c'est un MIRACLE que ce soit en français XD
J'vais corriger ça :-