Dans une ruelle pavés.[PV Elizabeth]
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Dans une ruelle pavés.[PV Elizabeth]
Edwin était triste. Finalement, il regrettait d’être parti. Sa décision, qui lui paraissait si brave et courageuse sur l’instant, lui semblait maintenant dénuée de sens, et surtout suicidaire. Comment allait-il faire, lui, pauvre ange, pour tromper la célèbre vigilance du passeur de Anges, et ensuite celle des Démons ? Et croyait-il vraiment qu’il pourrait aller combattre seul, une troupe entière de démons, plus dangereux les uns que les autres ? Oui, pendant un temps, il s’en était crut capable. Lorsque Lou mourut, c’était la seule chose qui lui restait, il s’était raccroché à ses prétendus talents d’épéistes. Maintenant, il se rendait compte qu’il avait totalement idiot. Hors de question, pourtant, de rentrer à la maison. Après le chagrin qu’il avait du afflige à sa famille, il était sûr qu’elle ne voudrait plus le revoir. Et même si ce n’était pas le cas, jamais plus il ne pourrait les regarder dans les yeux sans éprouver de la honte, d’être parti et d’être revenu aussitôt après. Il avait sa fierté ! Maintenant, il devait avancer, encore et encore !
Voilà, le flot de penser qui se déversait continuellement dans l’esprit du jeune Ange. Il rabâchait mentalement toujours la même chose, se maudissant pour sa bêtise, et sa naïveté. Sentant qu’il n’arriverait à rien comme ça, que la solution ne lui apparaîtrait pas dans ce fatras de pensée morose, il se décida à les laisser passer, à les laisser s’écouler paisiblement dans son esprit, jusqu’à ce qu’une brillante idée apparaisse. Il savait qu’il devait faire comme ça, mais il l’oubliait bien souvent. Le Trône abandonna donc ses pensées, et reposa plutôt son attention sur ce qui l’entourait.
Il se trouvait dans une belle rue, assez petite, mais dégagée, bien loin des ruelles sordides que l’on trouvait des fois dans le Niveau O, d’après les rumeurs. Les pavés était blanc cassé, propre et sans inégalité. De chaque côté de la rue piétonne, se trouvait une rangée de beau pavillon. Chacun avait son jardin et son arbre, et même la rue était fleurie. Les fleurs étaient naturellement la reproduction de celle du niveau 0, mais d’après les rumeurs, elles étaient plus résistantes. Avec le rayon de soleil qui pointait le bout de son museau, et éclairait délicatement la rue, on aurait pu se croire au Paradis. Si Edwin avait su ce que c’était. Ce délicat amalgame de couleur et de texture donnait à toute la rue un air de parfait, d’harmonie, de bonheur. Rien n’était laissé au hasard, les rires des enfants et les chants des oiseaux étaient là pour parfaire ce tableau incroyable.
Mais, si ça pouvait être étrange pour un humain, tel que moi, pauvre narrateur que je suis, de voir autant de beauté, ça ne l’était pas pour les Anges, qui avait de nombreux lieux comme celui-ci. Edwin, qui y était presque habitué, y laissait courir ses yeux, sans vraiment prêter attention aux détails. Car en réalité, son attention était focalisée sur tout autre chose. Il sentait qu’on le suivait, indéniablement. Comme ce nuage en forme de lunettesau-dessus de sa tête, qui suivait celui en forme de sabre. De loin, en faisant le plus attention possible. Mais Edwin l’avait remarqué. Peut-être par hasard, peut-être par intuition, peut-être aussi que la personne qui le suivait n’était pas très doué, qui sait ?
Sûr de ce qu’il avançait, car cela faisait plusieurs minutes qu’il guettait la personne, il prit à l’embranchement à droite, s’engageant dans une rue comme celle qui venait de quittée. Mais au lieu de continuer à avancer, il attendit d’être hors-de-vue pour se plaquer contre un mur, et attendre que cette personne si peu douée se fasse prendre au piège ... Juste au cas où, il se prépara mentalement à l’utilisation de ses pouvoirs, et à sortir sa lame de son fourreau. Juste au cas où …
Voilà, le flot de penser qui se déversait continuellement dans l’esprit du jeune Ange. Il rabâchait mentalement toujours la même chose, se maudissant pour sa bêtise, et sa naïveté. Sentant qu’il n’arriverait à rien comme ça, que la solution ne lui apparaîtrait pas dans ce fatras de pensée morose, il se décida à les laisser passer, à les laisser s’écouler paisiblement dans son esprit, jusqu’à ce qu’une brillante idée apparaisse. Il savait qu’il devait faire comme ça, mais il l’oubliait bien souvent. Le Trône abandonna donc ses pensées, et reposa plutôt son attention sur ce qui l’entourait.
Il se trouvait dans une belle rue, assez petite, mais dégagée, bien loin des ruelles sordides que l’on trouvait des fois dans le Niveau O, d’après les rumeurs. Les pavés était blanc cassé, propre et sans inégalité. De chaque côté de la rue piétonne, se trouvait une rangée de beau pavillon. Chacun avait son jardin et son arbre, et même la rue était fleurie. Les fleurs étaient naturellement la reproduction de celle du niveau 0, mais d’après les rumeurs, elles étaient plus résistantes. Avec le rayon de soleil qui pointait le bout de son museau, et éclairait délicatement la rue, on aurait pu se croire au Paradis. Si Edwin avait su ce que c’était. Ce délicat amalgame de couleur et de texture donnait à toute la rue un air de parfait, d’harmonie, de bonheur. Rien n’était laissé au hasard, les rires des enfants et les chants des oiseaux étaient là pour parfaire ce tableau incroyable.
Mais, si ça pouvait être étrange pour un humain, tel que moi, pauvre narrateur que je suis, de voir autant de beauté, ça ne l’était pas pour les Anges, qui avait de nombreux lieux comme celui-ci. Edwin, qui y était presque habitué, y laissait courir ses yeux, sans vraiment prêter attention aux détails. Car en réalité, son attention était focalisée sur tout autre chose. Il sentait qu’on le suivait, indéniablement. Comme ce nuage en forme de lunettesau-dessus de sa tête, qui suivait celui en forme de sabre. De loin, en faisant le plus attention possible. Mais Edwin l’avait remarqué. Peut-être par hasard, peut-être par intuition, peut-être aussi que la personne qui le suivait n’était pas très doué, qui sait ?
Sûr de ce qu’il avançait, car cela faisait plusieurs minutes qu’il guettait la personne, il prit à l’embranchement à droite, s’engageant dans une rue comme celle qui venait de quittée. Mais au lieu de continuer à avancer, il attendit d’être hors-de-vue pour se plaquer contre un mur, et attendre que cette personne si peu douée se fasse prendre au piège ... Juste au cas où, il se prépara mentalement à l’utilisation de ses pouvoirs, et à sortir sa lame de son fourreau. Juste au cas où …
Edwin Pelahar- Nouveau né
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Re: Dans une ruelle pavés.[PV Elizabeth]
Quand elle l’avait vu partir, comme ça, presque sans un mot, elle en avait eut le cœur brisé. Comment allait-elle pouvoir vivre sans lui, sans ce frère qu’elle aimait tant. Mais ce qui la blessait le plus, c’est qu’il ne lui est pas parlé de son projet. Evidemment, elle aurait tenté de le retenir, mais c’était tout de même sa sœur ! Elizabeth était maintenant, après avoir réfléchit aux événements, plus en colère que triste. Quand Edwin était parti, ses parents étaient restés là, sans un mot pendant une minute avant de retourner à leurs occupations habituelles. Ça, Elizabeth l’avait très mal vécu. Moi, narrateur, je sais qu’ils faisaient ça pour oublier, mais la jeune fille ne l’a pas vu comme ça, elle l’a vu comme une indifférence totale de ce qui pouvait arriver à son frère. Elle avait alors elle aussi prit une grande décision, elle le suivrait. Oui, elle le suivrait, pour que jamais il ne soit seul, et elle non plus. Dans ce moment-là, elle ne se rendait pas compte des conséquences que ça pouvait avoir, elle ne s’en rendrait compte que bien plus tard.
Echappant à la surveillance de ses parents, elle sortit de la maison et se dit qu’elle devrait se défendre un minimum. Elle alla donc voler une dague sur un étalage. Ce jour-là, elle eut beaucoup de chance, car le vendeur était à moitié endormi et qu’il n’y avait personne. Elle fit même tomber la dague, pas de réaction. Elle s’en alla donc, presque contente de ce qu’elle avait fait. Evidemment, elle ne savait pas trop comment tenir c’est étrange objet de métal, et se coupa même en le mettant à l’envers. Enfin, elle atteignit les beaux quartiers, qui étaient en direction de ce fantastique « passeur » dont on lui parlait dans les contes. C’est donc ici qu’elle pourrait trouver Edwin.
Quand elle voyait toute la beauté de ce quartier, sa perfection, sa tranquillité, son calme, elle avait envie de tout oublier, de tout laisser tomber, et de plonger dans le bonheur. Mais à chaque fois qu’elle avait cette pensée, elle se tapait sur la tête et se disait qu’elle devait aller rejoindre son frère. Enfin ! Elle le voyait, et là, elle se posa un dilemme. Devait-elle lui dire qu’elle l’avait suivi, mais il risquait de se fâcher, et de la renvoyer à la maison. Au contraire, si elle continuait à le suivre et elle ne disait rien, ils seraient arrivés assez loin pour qu’il ne puisse pas la faire rentrer, et Elizabeth pourrait rester avec lui. Oui, c‘était une bonne idée, et la jeune fille allait la suivre à la lettre.
Alors qu’elle était dans ses pensées, elle ne vit plus son frère. Il y avait un croisement, mais Elizabeth ne pensait pas qu’il était allé par là. Elle continua donc tout droit, sûre de voir son Edwin adoré. Mais, en regardant au loin, elle ne vit personne. Aurait-il tourné à droite ?? Elizabeth se tourna, juste pour regarder. C’est alors qu’elle le vit, pas de la façon dont elle le voulait. Il avait son épée à la main et avait l’air furieux. Se rendant compte qu’Edwin n’allait pas apprécier ce qu’elle avait fait, elle baissa la tête, un peu penaude, et cacha la dague dans son dos.
Echappant à la surveillance de ses parents, elle sortit de la maison et se dit qu’elle devrait se défendre un minimum. Elle alla donc voler une dague sur un étalage. Ce jour-là, elle eut beaucoup de chance, car le vendeur était à moitié endormi et qu’il n’y avait personne. Elle fit même tomber la dague, pas de réaction. Elle s’en alla donc, presque contente de ce qu’elle avait fait. Evidemment, elle ne savait pas trop comment tenir c’est étrange objet de métal, et se coupa même en le mettant à l’envers. Enfin, elle atteignit les beaux quartiers, qui étaient en direction de ce fantastique « passeur » dont on lui parlait dans les contes. C’est donc ici qu’elle pourrait trouver Edwin.
Quand elle voyait toute la beauté de ce quartier, sa perfection, sa tranquillité, son calme, elle avait envie de tout oublier, de tout laisser tomber, et de plonger dans le bonheur. Mais à chaque fois qu’elle avait cette pensée, elle se tapait sur la tête et se disait qu’elle devait aller rejoindre son frère. Enfin ! Elle le voyait, et là, elle se posa un dilemme. Devait-elle lui dire qu’elle l’avait suivi, mais il risquait de se fâcher, et de la renvoyer à la maison. Au contraire, si elle continuait à le suivre et elle ne disait rien, ils seraient arrivés assez loin pour qu’il ne puisse pas la faire rentrer, et Elizabeth pourrait rester avec lui. Oui, c‘était une bonne idée, et la jeune fille allait la suivre à la lettre.
Alors qu’elle était dans ses pensées, elle ne vit plus son frère. Il y avait un croisement, mais Elizabeth ne pensait pas qu’il était allé par là. Elle continua donc tout droit, sûre de voir son Edwin adoré. Mais, en regardant au loin, elle ne vit personne. Aurait-il tourné à droite ?? Elizabeth se tourna, juste pour regarder. C’est alors qu’elle le vit, pas de la façon dont elle le voulait. Il avait son épée à la main et avait l’air furieux. Se rendant compte qu’Edwin n’allait pas apprécier ce qu’elle avait fait, elle baissa la tête, un peu penaude, et cacha la dague dans son dos.
Elizabeth Pelahar- Nouveau né
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Re: Dans une ruelle pavés.[PV Elizabeth]
Quelle déception ! Edwin aurait presque voulu que ce soit un ennemi qui l’ait suivi. Ainsi, ils auraient engagés un combat acharné, où leur vie serait en jeu, et où le seul vainqueur serait celui qui tuerait l’autre, enfonçant profondément sa lame dans son cœur. Puis, la retirant, ensanglanté, le héros, qui serait évidemment Edwin, repartirait, sans un regard en arrière, poursuivre sa quête. Ainsi aurait commencé la légende de ce jeune ange, qui avait bravé tous les dangers, pour arrêter une guerre qui n’avait que trop duré. Et même s’il était mort au combat, face à plus puissant que lui, il serait resté dans les mémoires, comme celui qui avait donné espoir à tout un peuple.
Et là, en un millième de seconde, tout cet avenir chatoyant venait de partir en fumée. Toute cette vie de gloire, de combat et de victoire venait d’être réduite à néant. Comment ? Et bien, parce que ce n’était pas un dangereux ennemi qui venait d’apparaître devant les yeux ébahis du Trône, mais une toute autre personne, à la silhouette bien trop familière. Dès qu’il l’avait aperçu, Edwin n’avait plus eut aucun doute. Il n’y avait qu’elle pour s’habiller comme ça. Pour respirer la fragilité et la grâce, et pour être autant butée. Vous aurez sûrement devinez : il s’agit là d’Elizabeth. La belle demoiselle, sa jumelle qui plus est, la personne qu’il avait eut le plus de mal à quitter, se trouvait là, devant lui. Consciente de sa faute, elle avait les mains dans le dos, et les yeux baissés.
Edwin la détailla un peu, elle sa petite sœur de quelques minutes, ses longs cheveux blonds, attachés comme toujours de la même façon, ses grands yeux marrons, sa peau pâle et ses doigts fins. Il soupira, d’un soupir qui voulait dire combien il était trop bon, combien le monde était mal fait, et combien … combien … combien il était incapable de résister à sa sœur. Voilà pourquoi il était parti tôt, sans aucune cérémonie, se contentant d’un simple Adieu. S’en aller, laissant derrière lui ses parents tant adorés, sa sœur chérie, cette maison qui avait bercé son enfance … Pour Edwin, cela avait été un choix difficile. Et il savait, il le savait, que si Elizabeth lui demandait maintenant de rentrer à la maison, comme elle savait si bien le faire parfois, il ne pourrait pas lui refuser. Même s’il s’en voulait toute sa vie, il ne pourrait pas.
Hochant brièvement de la tête de droite à gauche, comme pour chasser ses néfastes pensées, il rangea son épée dans son fourreau. Puis, s’approchant de sa jeune sœur –oui, elle est comme même plus jeune que lui, c’est important de la préciser !-, il lui releva le menton, plongeant ses yeux noirs dans ceux marron de sa sœur jumelle, qui ne lui ressemblait pas en ce point d’ailleurs, et lui dit gentiment, avec un début de sourire :
- " Dis, moi, sœurette, on peut savoir ce que tu fais ici ? "
Malgré cela, la demoiselle ne devait absolument pas croire qu’elle s’en sortirait bien. Ce n’était pas parce qu’Edwin lui parlait aussi gentiment qu’elle n’allait pas avoir le droit a d’exemplaires remontrances sur le fait qu’elle le suive à son insu, alors qu’il leur avait demandé de ne pas le suivre. Remontrances parce qu’elle ne voudrait sûrement pas le quitter. Remontrances … Pour plein de raisons !
D’ailleurs, pensait le jeune homme, s’il voulait pouvoir les faire tranquillement -ses remontrances, entendons-nous bien-, il fallait peut-être qu’ils trouvent un meilleur endroit pour converser tranquillement. Un parc, ou au moins un banc ! Ne laissant donc pas le temps à Elizabeth de répondre, il reprit la parole :
- " Viens, on va trouve un endroit plus approprié à la conversation, et tu vas m’expliquer tout ça … Ok ? "
Puis, il commença à marcher, se dirigeant vers un quelconque endroit plus intimiste ...
Et là, en un millième de seconde, tout cet avenir chatoyant venait de partir en fumée. Toute cette vie de gloire, de combat et de victoire venait d’être réduite à néant. Comment ? Et bien, parce que ce n’était pas un dangereux ennemi qui venait d’apparaître devant les yeux ébahis du Trône, mais une toute autre personne, à la silhouette bien trop familière. Dès qu’il l’avait aperçu, Edwin n’avait plus eut aucun doute. Il n’y avait qu’elle pour s’habiller comme ça. Pour respirer la fragilité et la grâce, et pour être autant butée. Vous aurez sûrement devinez : il s’agit là d’Elizabeth. La belle demoiselle, sa jumelle qui plus est, la personne qu’il avait eut le plus de mal à quitter, se trouvait là, devant lui. Consciente de sa faute, elle avait les mains dans le dos, et les yeux baissés.
Edwin la détailla un peu, elle sa petite sœur de quelques minutes, ses longs cheveux blonds, attachés comme toujours de la même façon, ses grands yeux marrons, sa peau pâle et ses doigts fins. Il soupira, d’un soupir qui voulait dire combien il était trop bon, combien le monde était mal fait, et combien … combien … combien il était incapable de résister à sa sœur. Voilà pourquoi il était parti tôt, sans aucune cérémonie, se contentant d’un simple Adieu. S’en aller, laissant derrière lui ses parents tant adorés, sa sœur chérie, cette maison qui avait bercé son enfance … Pour Edwin, cela avait été un choix difficile. Et il savait, il le savait, que si Elizabeth lui demandait maintenant de rentrer à la maison, comme elle savait si bien le faire parfois, il ne pourrait pas lui refuser. Même s’il s’en voulait toute sa vie, il ne pourrait pas.
Hochant brièvement de la tête de droite à gauche, comme pour chasser ses néfastes pensées, il rangea son épée dans son fourreau. Puis, s’approchant de sa jeune sœur –oui, elle est comme même plus jeune que lui, c’est important de la préciser !-, il lui releva le menton, plongeant ses yeux noirs dans ceux marron de sa sœur jumelle, qui ne lui ressemblait pas en ce point d’ailleurs, et lui dit gentiment, avec un début de sourire :
- " Dis, moi, sœurette, on peut savoir ce que tu fais ici ? "
Malgré cela, la demoiselle ne devait absolument pas croire qu’elle s’en sortirait bien. Ce n’était pas parce qu’Edwin lui parlait aussi gentiment qu’elle n’allait pas avoir le droit a d’exemplaires remontrances sur le fait qu’elle le suive à son insu, alors qu’il leur avait demandé de ne pas le suivre. Remontrances parce qu’elle ne voudrait sûrement pas le quitter. Remontrances … Pour plein de raisons !
D’ailleurs, pensait le jeune homme, s’il voulait pouvoir les faire tranquillement -ses remontrances, entendons-nous bien-, il fallait peut-être qu’ils trouvent un meilleur endroit pour converser tranquillement. Un parc, ou au moins un banc ! Ne laissant donc pas le temps à Elizabeth de répondre, il reprit la parole :
- " Viens, on va trouve un endroit plus approprié à la conversation, et tu vas m’expliquer tout ça … Ok ? "
Puis, il commença à marcher, se dirigeant vers un quelconque endroit plus intimiste ...
Edwin Pelahar- Nouveau né
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Re: Dans une ruelle pavés.[PV Elizabeth]
Ce ne fut tout d'abord qu'une impression. Comme celle de mal voir, une vue qui se trouble, l'espace d'un instant. Probablement rien. Quelque chose que l'on refoule tout simplement, que l'on oublie aussitôt.
Mais ce ne fut pas que cela. Son coeur battait à un rythme trop cadencé, trop irrégulier. Son souffle devint court, elle dut haleter pour respirer. Et elle essaya encore d'inspirer, mais il semblait qu'elle ne pouvait pas respirer.
Quelques secondes plus tard, Elizabeth tombait en apoplexie.
(A la demande d'Edwin. Si la joueuse veut reprendre le personnage (et que l'on en est toujours à ce scenar bien sûr), direction le forum "En apoplexie". ^^)
Mais ce ne fut pas que cela. Son coeur battait à un rythme trop cadencé, trop irrégulier. Son souffle devint court, elle dut haleter pour respirer. Et elle essaya encore d'inspirer, mais il semblait qu'elle ne pouvait pas respirer.
Quelques secondes plus tard, Elizabeth tombait en apoplexie.
(A la demande d'Edwin. Si la joueuse veut reprendre le personnage (et que l'on en est toujours à ce scenar bien sûr), direction le forum "En apoplexie". ^^)
PNJ- Sorte de dieu
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Date d'inscription : 03/01/2008
Re: Dans une ruelle pavés.[PV Elizabeth]
Au bout d’un instant, Edwin se retourna. Quelque chose clochait. Il savait que la jeune femme avait peur de se faire gronder, de voir le visage de son frère déformé par la rage, comme à de rare instants, mais ces appréhensions ne l’empêchait tout de même pas avancer ?! Alors pourquoi restait-elle là ? Pourquoi sa respiration avait-elle l’air courte et irrégulière ? Pourquoi haletait-elle, comme si elle venait de courir un cinq cent mètres ? Pourquoi, pourquoi ?! Se retournant vivement, il fonça sur elle, la rattrapant juste avant qu’elle ne tombe sur le sol, inconsciente. S’agenouillant sous ce nouveau poids, Edwin lui murmura, affolé :
-Eliz ! Eliz ! Qu’est-ce qui se passe ?! Si c’est une blague, ce n’est pas drôle ! Eliz ! Eliz !
Maintenant totalement effrayé, le jeune ange ne savait que faire. Sa sœur allait mal, et il ne faisait rien… Il restait sans réagir. Mais que fallait-il faire ? Etait-ce une crise passagère ? Allait-elle empirer ? Sentant qu’il n’arriverait à rien en posant des questions sans réponses, il se força à respirer calmement…Comme Eliz n’arrivait justement pas à le faire…Une fois que son cœur cessa de battre la chamade, il se releva, sa jeune sœur dans les bras, et commença à avancer. Ses yeux pleuraient sans qu’il s’en rende compte…Sa sœur elle-même en était aspergé…
Un peu perdu, il ne savait pas où avancer, jusqu’à ce qu’une idée un plus cohérente que les autres sortis de son esprit embrumé lui conseille d’aller à l’hôpital. Obéissant à cette idée lucide, il se dirigea d’un pas hagard vers la sortie des beaux quartiers, cherchant la petite pancarte qui indiquerait « Hôpital ». Au bout d’une dizaine de minutes de recherches effrénées, le panneau fut enfin remarquer par le jeune ange. Celui-ci le suivit, et arriva devant le beau bâtiment flambant neuf qu’était le centre de soin. Blanc pur, il donnait une impression de calme et de sérénité encore plus présente que dans le reste du Niveau 1. Aussitôt, les yeux du jeune garçon se séchèrent, et le calme habituel reprit sa place sur son visage.
Rentrant à l’intérieur de la structure, il n’eut pas le temps de faire un pas de plus, qu’une jeune ange très jolie, en blouse blanche se précipita sur lui, et demanda d’une voix douce :
-Oh ! Qu’à-t-elle ?! Que lui est-elle arrivée ?
Puis, voyant le visage d’Edwin qui menaçait de nouveau d’éclater en sanglot, elle le fit s’assoir, lui prit sa sœur jumelle et appela un brancard. Puis, elle se tourna vers le jeune homme et lui dit :
-Alors ?
Le jeune ange inspira profondément et prit la parole :
-Elle s’est mise à respirer bizarrement, comme si elle n’arrivait plus à reprendre son souffle, et puis…Elle s’est évanouie.
-Hum… Bien, nous allons voir son état, passez dans quelques jours…
-Vous savez ce qu’elle a ?
-Je…Revenez plus tard.
Elle était devenue plus ferme, et après un bref au revoir, elle le reconduit à la sortie…Edwin devait aller avertir ses parents que leur fille était à l’hôpital…Et qu’il n’avait pas pu l’empêcher.
-Eliz ! Eliz ! Qu’est-ce qui se passe ?! Si c’est une blague, ce n’est pas drôle ! Eliz ! Eliz !
Maintenant totalement effrayé, le jeune ange ne savait que faire. Sa sœur allait mal, et il ne faisait rien… Il restait sans réagir. Mais que fallait-il faire ? Etait-ce une crise passagère ? Allait-elle empirer ? Sentant qu’il n’arriverait à rien en posant des questions sans réponses, il se força à respirer calmement…Comme Eliz n’arrivait justement pas à le faire…Une fois que son cœur cessa de battre la chamade, il se releva, sa jeune sœur dans les bras, et commença à avancer. Ses yeux pleuraient sans qu’il s’en rende compte…Sa sœur elle-même en était aspergé…
Un peu perdu, il ne savait pas où avancer, jusqu’à ce qu’une idée un plus cohérente que les autres sortis de son esprit embrumé lui conseille d’aller à l’hôpital. Obéissant à cette idée lucide, il se dirigea d’un pas hagard vers la sortie des beaux quartiers, cherchant la petite pancarte qui indiquerait « Hôpital ». Au bout d’une dizaine de minutes de recherches effrénées, le panneau fut enfin remarquer par le jeune ange. Celui-ci le suivit, et arriva devant le beau bâtiment flambant neuf qu’était le centre de soin. Blanc pur, il donnait une impression de calme et de sérénité encore plus présente que dans le reste du Niveau 1. Aussitôt, les yeux du jeune garçon se séchèrent, et le calme habituel reprit sa place sur son visage.
Rentrant à l’intérieur de la structure, il n’eut pas le temps de faire un pas de plus, qu’une jeune ange très jolie, en blouse blanche se précipita sur lui, et demanda d’une voix douce :
-Oh ! Qu’à-t-elle ?! Que lui est-elle arrivée ?
Puis, voyant le visage d’Edwin qui menaçait de nouveau d’éclater en sanglot, elle le fit s’assoir, lui prit sa sœur jumelle et appela un brancard. Puis, elle se tourna vers le jeune homme et lui dit :
-Alors ?
Le jeune ange inspira profondément et prit la parole :
-Elle s’est mise à respirer bizarrement, comme si elle n’arrivait plus à reprendre son souffle, et puis…Elle s’est évanouie.
-Hum… Bien, nous allons voir son état, passez dans quelques jours…
-Vous savez ce qu’elle a ?
-Je…Revenez plus tard.
Elle était devenue plus ferme, et après un bref au revoir, elle le reconduit à la sortie…Edwin devait aller avertir ses parents que leur fille était à l’hôpital…Et qu’il n’avait pas pu l’empêcher.
Edwin Pelahar- Nouveau né
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